mardi 19 janvier 2016

C’est le matin que l’on grandit (20)


Sur le pâle visage fugace ressenti d'un reste de nuit, traînée aquarelle de rosé sans pétale, qui s'étale et se fond bientôt dans le gris des yeux diffus du jour en perce.
Cédric Bernard

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posted by Lucien Suel at 07:40