C’est le matin que l’on grandit (20)
Sur
le pâle visage fugace ressenti d'un
reste de nuit, traînée aquarelle de rosé sans pétale, qui s'étale
et se fond bientôt dans le gris des yeux diffus du jour en perce.
Cédric Bernard
Libellés : C'est le matin que l'on grandit, Cédric Bernard, Invité du Silo
0 Comments:
Enregistrer un commentaire
<< Home