Il pleut ou il fait beau... (10)
Alors c'est fini règles abondantes puisque tu es en cloque
et qu'il pleut en abondance, tes vêtements sont en loques
au milieu de maisons de briques et de jardins fleuris multicolores,
de petits prés et de cultures maraîchères en serres, où lettre
aurait pu s'égarer, j'y vais, je ne vois rien :
encore une de tes farces : me donner une image fausse abondant
mon imagination. Tu sais que je marche aussi avec la lune,
pourquoi fais-tu coup sournois, je rêvais de brumes normales en forêt
et tu arrives le corps jaune en charpie, murs de Malibu
qui desquament ! Tu me fous l'imper en lambeaux ! Les poches,
tu me les retournes, voile de doublure passe à la vapeur.
« Tu es si folâtre que tu pourrais, si tu la retrouvais,
la rouler serrée sur elle-même et me l'insérer en vase
– comme une fleur de rose éclot en chatte – en prenant risque
de diluer toute l'encre dans la mouille ou le sang.
C'est quoi cette lettre si importante que forêts s'écroulent ? ».
Je ne sais pas ! A ton entrée je l'ai froissée
en poche, noyée dans le geste de tirer le rideau.
et qu'il pleut en abondance, tes vêtements sont en loques
au milieu de maisons de briques et de jardins fleuris multicolores,
de petits prés et de cultures maraîchères en serres, où lettre
aurait pu s'égarer, j'y vais, je ne vois rien :
encore une de tes farces : me donner une image fausse abondant
mon imagination. Tu sais que je marche aussi avec la lune,
pourquoi fais-tu coup sournois, je rêvais de brumes normales en forêt
et tu arrives le corps jaune en charpie, murs de Malibu
qui desquament ! Tu me fous l'imper en lambeaux ! Les poches,
tu me les retournes, voile de doublure passe à la vapeur.
« Tu es si folâtre que tu pourrais, si tu la retrouvais,
la rouler serrée sur elle-même et me l'insérer en vase
– comme une fleur de rose éclot en chatte – en prenant risque
de diluer toute l'encre dans la mouille ou le sang.
C'est quoi cette lettre si importante que forêts s'écroulent ? ».
Je ne sais pas ! A ton entrée je l'ai froissée
en poche, noyée dans le geste de tirer le rideau.
à suivre...
« Il
pleut ou il fait beau tout le temps au début »,
un feuilleton de St. Batsal, (le pôle qu'elle nie)
ce
texte n'est pas tiré d'un vrai fait divers, de même que toute
ressemblance, y compris en URSS.
Libellés : Feuilleton, Il pleut ou il fait beau, Poésie, St. Batsal
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