Sombre Ducasse (version justifiée) 67
érostatique
utilité & boisson soumise
exubérance
et règles subtropicales de
l'abri
les physiques turbulents issus
des
carnavals misérables & des pleurs
d'oreiller
dans l'étonnante lueur des
cerveaux
gantés de virginité héroïque
le
grand pardon blessé par ton cri de
passoire
insensée ô grand vide établi
tu
rayonnes Eve sobre & crépusculaire
femme
reine extasiée éperonnée par la
justice
repue vague & primitive seule
la
grande Pythie prudente de la folle
invention
reste constante baroque par
incompréhension
ô frère élève le vase
le
gratin gonflé de liberté gueuserie
universelle
bétonnez-vous forêts sans
profondeur
rivières embaumées pleurez
liberté
déçue par les états enflés de
domination
évasions déchaînez-vous le
traumatisme
cravaché du passé soulève
sa
tête hideuse au dessus des épaules
de
son erreur affamée acrobate dément
Libellés : écriture automatique, Lucien Suel, Poésie, sombre ducasse, surréalisme, Vers justifiés
0 Comments:
Enregistrer un commentaire
<< Home