Sombre Ducasse (version justifiée) 2
entrez
dans la danse dans la danse et
voyez
comme on danse sautez dansez et
embrassez
qui vous voudrez je connais
trop
de monde je plane sur une orbite
géostationnaire
ne quittez pas il est
bientôt
trop tard nous n'avons rien à
perdre
nous n'avons rien à gagner les
esclaves
de nulle part se rincent les
doigts
dans la cuisine prose-épine le
feu
des fusils à canons sciés chauffe
paysans
qui dégoulinent dans un évier
planétaire
leurs chuchotements impurs
sont
masqués parmi les bruits de toux
urbaine
similaire les justiciers jupe
relevée
pataugent dans les débris des
assemblages
scolaires audiovisuels je
rêve
cette promenade depuis longtemps
dans
des bureaux encrassés leurs murs
lacérés
de graffitis n'est-ce-pas les
jeunes
enfants destinés à l'espace se
tiennent
au courant comprennent toute
la
situation à l'écart du tumulte sur
la
place du village devant les stèles
trois
ou quatre choses qui clairement
se
détachent un esclave connaît leurs
raisons-combines
avec la photographie
du
mot-repère questions dans le temps
les
magnétophones sont déclenchés ils
suivent
la flèche l'itinéraire est un
code
vous pouvez toujours utiliser un
espace
pour régler l'exploitation des
plus
âgés en effet le milieu local il
est
triste et sale il faut on ne peut
pas
l'ultime arbitrage accéléré celui
du
professeur Mavol-Mavort était vrai
Libellés : Lucien Suel, sombre ducasse, Vers justifiés
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