Un poème d'Edward Thomas (1878-1917)
Les grandes orties.
Les grandes orties recouvrent, comme elles l'ont toujours fait
Ces derniers printemps, la herse rouillée, la charrue
Depuis longtemps hors d'usage, et le rouleau de pierre :
Seule la souche d'orme dépasse encore les orties.
C'est dans la cour de la ferme mon coin préféré :
Autant que n'importe quelle floraison éblouie
J'aime cette poudre sur les orties, toujours présente
Sauf à révéler la douceur d'une averse.
Ces derniers printemps, la herse rouillée, la charrue
Depuis longtemps hors d'usage, et le rouleau de pierre :
Seule la souche d'orme dépasse encore les orties.
C'est dans la cour de la ferme mon coin préféré :
Autant que n'importe quelle floraison éblouie
J'aime cette poudre sur les orties, toujours présente
Sauf à révéler la douceur d'une averse.
Libellés : Traduction
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1 Comments:
très belle, délicieuse traduction pour un bien beau poème.
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