(je ne crois pas qu'on la voie en entier - mais plutôt quelques unes des pièces qui la constituent - si on va par là, on en voit six : il s'agit plus de reconstitutions que de scènes réelles - tout ça part dans un onirisme échevelé, qui est bien dans l'ordre ou le style ou le genre du réalisateur) (d'ailleurs il est franco-chilien, on l'aime beaucoup comme on aime beaucoup ce qui se passe dans ce pays, ces temps-ci - on a beaucoup moins aimé un certain onze septembre soixante treize mais on n'oublie pas - il y a au monde des lieux où brille la paix, le partage, la dignité - parfois je me dis que je vais émigrer... mais je m'égare) : il y a six pièces, il y a six tableaux vivants qui représentent des scènes ésotériques - on a droit à une voix off qui nous explique (?) : quelque chose de symbolique en relation avec les Croisades, les Templiers - ce qui se trouve, c'est qu'il manque une des sept représentations pour qu'on comprenne (on peut aller jusqu'à dire qu'on ne comprend pas grand chose - sinon rien) : c'est qu'il n'y a rien à comprendre, mais à se laisser porter par une espèce de narration - on regarde, on estime, on oublie... - exactement comme dans le poème express du jour - ce n'est pas un film documentaire, mais presque - c'est un film de fiction effervescente - produit pat l'institution national de l'audiovisuel - soixante six minutes : un format à l'enseigne du diable ? Peut-être - en tout cas, parfaitement poétique illuminé (image Sacha Vierny) original (musique Jorge Arriagada, un ami fidèle du réalisateur, Raul Ruiz) d'après le récit de Pierre Klossowski Le Baphomet - L'hypothèse du tableau volé (Raul Ruiz, 1979)
Clermont-Ferrand, semaine de la poésie, en mars 2024
Dunkerque, performance au LAAC, le 5 mai 2024
Hazebrouck, pour les 30 ans du Marais du livre, le 5 septembre 2024
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février 2025, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril 2025 à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre 2025, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
TOULOUSE, le 13 janvier 2026, à La Cave Poésie René-Gouzenne, exposition, lecture-performance... plus d'informations bientôt
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3 Comments:
une maison comme une maison
Une question me taraude : Le poème express est-il un poème en prose ou un poème en vers ?
(je ne crois pas qu'on la voie en entier - mais plutôt quelques unes des pièces qui la constituent - si on va par là, on en voit six : il s'agit plus de reconstitutions que de scènes réelles - tout ça part dans un onirisme échevelé, qui est bien dans l'ordre ou le style ou le genre du réalisateur) (d'ailleurs il est franco-chilien, on l'aime beaucoup comme on aime beaucoup ce qui se passe dans ce pays, ces temps-ci - on a beaucoup moins aimé un certain onze septembre soixante treize mais on n'oublie pas - il y a au monde des lieux où brille la paix, le partage, la dignité - parfois je me dis que je vais émigrer... mais je m'égare) : il y a six pièces, il y a six tableaux vivants qui représentent des scènes ésotériques - on a droit à une voix off qui nous explique (?) : quelque chose de symbolique en relation avec les Croisades, les Templiers - ce qui se trouve, c'est qu'il manque une des sept représentations pour qu'on comprenne (on peut aller jusqu'à dire qu'on ne comprend pas grand chose - sinon rien) : c'est qu'il n'y a rien à comprendre, mais à se laisser porter par une espèce de narration - on regarde, on estime, on oublie... - exactement comme dans le poème express du jour - ce n'est pas un film documentaire, mais presque - c'est un film de fiction effervescente - produit pat l'institution national de l'audiovisuel - soixante six minutes : un format à l'enseigne du diable ? Peut-être - en tout cas, parfaitement poétique illuminé (image Sacha Vierny) original (musique Jorge Arriagada, un ami fidèle du réalisateur, Raul Ruiz) d'après le récit de Pierre Klossowski Le Baphomet - L'hypothèse du tableau volé (Raul Ruiz, 1979)
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