(je ne crois pas qu'on la voie en entier - mais plutôt quelques unes des pièces qui la constituent - si on va par là, on en voit six : il s'agit plus de reconstitutions que de scènes réelles - tout ça part dans un onirisme échevelé, qui est bien dans l'ordre ou le style ou le genre du réalisateur) (d'ailleurs il est franco-chilien, on l'aime beaucoup comme on aime beaucoup ce qui se passe dans ce pays, ces temps-ci - on a beaucoup moins aimé un certain onze septembre soixante treize mais on n'oublie pas - il y a au monde des lieux où brille la paix, le partage, la dignité - parfois je me dis que je vais émigrer... mais je m'égare) : il y a six pièces, il y a six tableaux vivants qui représentent des scènes ésotériques - on a droit à une voix off qui nous explique (?) : quelque chose de symbolique en relation avec les Croisades, les Templiers - ce qui se trouve, c'est qu'il manque une des sept représentations pour qu'on comprenne (on peut aller jusqu'à dire qu'on ne comprend pas grand chose - sinon rien) : c'est qu'il n'y a rien à comprendre, mais à se laisser porter par une espèce de narration - on regarde, on estime, on oublie... - exactement comme dans le poème express du jour - ce n'est pas un film documentaire, mais presque - c'est un film de fiction effervescente - produit pat l'institution national de l'audiovisuel - soixante six minutes : un format à l'enseigne du diable ? Peut-être - en tout cas, parfaitement poétique illuminé (image Sacha Vierny) original (musique Jorge Arriagada, un ami fidèle du réalisateur, Raul Ruiz) d'après le récit de Pierre Klossowski Le Baphomet - L'hypothèse du tableau volé (Raul Ruiz, 1979)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
3 Comments:
une maison comme une maison
Une question me taraude : Le poème express est-il un poème en prose ou un poème en vers ?
(je ne crois pas qu'on la voie en entier - mais plutôt quelques unes des pièces qui la constituent - si on va par là, on en voit six : il s'agit plus de reconstitutions que de scènes réelles - tout ça part dans un onirisme échevelé, qui est bien dans l'ordre ou le style ou le genre du réalisateur) (d'ailleurs il est franco-chilien, on l'aime beaucoup comme on aime beaucoup ce qui se passe dans ce pays, ces temps-ci - on a beaucoup moins aimé un certain onze septembre soixante treize mais on n'oublie pas - il y a au monde des lieux où brille la paix, le partage, la dignité - parfois je me dis que je vais émigrer... mais je m'égare) : il y a six pièces, il y a six tableaux vivants qui représentent des scènes ésotériques - on a droit à une voix off qui nous explique (?) : quelque chose de symbolique en relation avec les Croisades, les Templiers - ce qui se trouve, c'est qu'il manque une des sept représentations pour qu'on comprenne (on peut aller jusqu'à dire qu'on ne comprend pas grand chose - sinon rien) : c'est qu'il n'y a rien à comprendre, mais à se laisser porter par une espèce de narration - on regarde, on estime, on oublie... - exactement comme dans le poème express du jour - ce n'est pas un film documentaire, mais presque - c'est un film de fiction effervescente - produit pat l'institution national de l'audiovisuel - soixante six minutes : un format à l'enseigne du diable ? Peut-être - en tout cas, parfaitement poétique illuminé (image Sacha Vierny) original (musique Jorge Arriagada, un ami fidèle du réalisateur, Raul Ruiz) d'après le récit de Pierre Klossowski Le Baphomet - L'hypothèse du tableau volé (Raul Ruiz, 1979)
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