(on a affaire ici à un block-buster (Tom Hanks en premier rôle) - on pourrait dire que c'est un sous-genre cinématographique, le film de prison comme il y a des films de sous-marins ou des films gore tueurs-d'enfants (gore est l'anagramme d'ogre) ou encore enfants-tueurs ou autres - un peu toujours les mêmes ficelles - le P/E* du jour ne fait pas partie du scénario (ou alors a été coupé au montage) : en fait ils sont dix flics qui viennent arrêter un supposé tueur d'enfants (une force de la nature si on veut) - le scénario est une adaptation d'une nouvelle de Stephen King qui porte le même titre : c'est le nom de cette prison, dans laquelle les condamnés à mort passent leurs derniers jours - univers glauque de terreur moche où les personnages sont animés des pires sentiments ou intentions - un peu comme les aime King - il y a donc là un type énorme (John Coffey interprété par Michaël Duncan) qui a tué deux petites filles mais qui est doué d'une espèce de shining - son amitié avec une petite souris est touchante - celle avec Tom Hanks (qui joue le gardien de prison) l'est aussi si tu veux... (au bout du couloir, la chaise électrique...) (mais c'est aussi une affaire d'erreur judiciaire) - pour le reste c'est une horreur, ça tue, ça saigne ça craint - mais comme c'est lui qui est venu, tant pis le voilà : La Ligne Verte (Frank Darabont, 1998) (le réal est aussi un scénariste plutôt reconnu (un peu comme Claude Sautet en France) pour ses façons de sauver des scénarios difficiles (on appelle ça un "script doctor" - un sous-genre du scénariste si on veut...) mais Darabont est très ami avec Stephen King) (une apparition hommage probablement de Fred Astaire qui chante Cheek to Cheek)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
2 Comments:
défoncée à la police
(on a affaire ici à un block-buster (Tom Hanks en premier rôle) - on pourrait dire que c'est un sous-genre cinématographique, le film de prison comme il y a des films de sous-marins ou des films gore tueurs-d'enfants (gore est l'anagramme d'ogre) ou encore enfants-tueurs ou autres - un peu toujours les mêmes ficelles - le P/E* du jour ne fait pas partie du scénario (ou alors a été coupé au montage) : en fait ils sont dix flics qui viennent arrêter un supposé tueur d'enfants (une force de la nature si on veut) - le scénario est une adaptation d'une nouvelle de Stephen King qui porte le même titre : c'est le nom de cette prison, dans laquelle les condamnés à mort passent leurs derniers jours - univers glauque de terreur moche où les personnages sont animés des pires sentiments ou intentions - un peu comme les aime King - il y a donc là un type énorme (John Coffey interprété par Michaël Duncan) qui a tué deux petites filles mais qui est doué d'une espèce de shining - son amitié avec une petite souris est touchante - celle avec Tom Hanks (qui joue le gardien de prison) l'est aussi si tu veux... (au bout du couloir, la chaise électrique...) (mais c'est aussi une affaire d'erreur judiciaire) - pour le reste c'est une horreur, ça tue, ça saigne ça craint - mais comme c'est lui qui est venu, tant pis le voilà : La Ligne Verte (Frank Darabont, 1998) (le réal est aussi un scénariste plutôt reconnu (un peu comme Claude Sautet en France) pour ses façons de sauver des scénarios difficiles (on appelle ça un "script doctor" - un sous-genre du scénariste si on veut...) mais Darabont est très ami avec Stephen King) (une apparition hommage probablement de Fred Astaire qui chante Cheek to Cheek)
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