(un P/E* parfaitement contemporain - le travail et sa loi inique programmée par l'immonde et inspirée par le fascisme le plus éhonté : les mains arrachées, les yeux crevés, les vies piétinées, c'est la police de ce pays, ici même) (bon pour l'emballage on repassera : elle travaille de nuit (sur les ferrys à destination dela Corse, si je me souviens), salaire de misère (son mari chauffeur d'autobus) une fille qui s'envoie en l'air avec le beau-frère lequel est exactement de la même eau que celle inspirant cette (fucking) loi travail (ni loi, ni travail) (à ce niveau ce n'est plus de la colère, c'est du dégoût et pour inspirer ce sentiment ce gouvernement (avec à l'éduknat un menteur abject) mériterait d'être foutu dehors) (le film est assez noir - elle c'est Sylvie (Ariane toujours parfaite, Ascaride) sa fille (dont le chauffeur de bus n'est pas le père) c'est Mathilda (Anaïs Demoustier, inutilement vulgaire) (elle commence à faire partie de la famille, déjà elle était (inutilement vulgaire aussi) dans le précédent (La Villa, 2017) - c'est que les personnages sont fréquemment interprétés par les mêmes acteurs (le chauffeur, c'est Richard -Jean-Pierre Daroussin - le vrai père (il sort de prison) Daniel (aka Gérard Meylan) ça se passe assez mal, ça grippe ça coince ça hurle - ça se termine très mal - une espèce de tragédie (que nous reste-t-il si l'espoir et la liberté nous sont enlevés ? si la dignité dans le travail est bafouée par des lois inqualifiables ? brrr... sinon dans le sang, on ne voit pas bien comment pourrait se résoudre ces violences : cette humanité-là...) (ainsi passe sa gloire...) (faudrait quand même se réveiller merde à la fin !!!) (sic transit) Gloria Mundi (Robert Guédiguian; 2019)(image (Pierre Milon) son (Laurent Lafran) décor (Michel Vandestein) costumes (Anne-Marie Giacalone) : toujours les mêmes : la famille)
OK ! En relisant avant publication, j'avais pensé à un film d'Alain Tanner, je pense, où l'on voit Bulle Ogier travailler dans une usine de saucisses...
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
7 Comments:
(un P/E* parfaitement contemporain - le travail et sa loi inique programmée par l'immonde et inspirée par le fascisme le plus éhonté : les mains arrachées, les yeux crevés, les vies piétinées, c'est la police de ce pays, ici même) (bon pour l'emballage on repassera : elle travaille de nuit (sur les ferrys à destination dela Corse, si je me souviens), salaire de misère (son mari chauffeur d'autobus) une fille qui s'envoie en l'air avec le beau-frère lequel est exactement de la même eau que celle inspirant cette (fucking) loi travail (ni loi, ni travail) (à ce niveau ce n'est plus de la colère, c'est du dégoût et pour inspirer ce sentiment ce gouvernement (avec à l'éduknat un menteur abject) mériterait d'être foutu dehors) (le film est assez noir - elle c'est Sylvie (Ariane toujours parfaite, Ascaride) sa fille (dont le chauffeur de bus n'est pas le père) c'est Mathilda (Anaïs Demoustier, inutilement vulgaire) (elle commence à faire partie de la famille, déjà elle était (inutilement vulgaire aussi) dans le précédent (La Villa, 2017) - c'est que les personnages sont fréquemment interprétés par les mêmes acteurs (le chauffeur, c'est Richard -Jean-Pierre Daroussin - le vrai père (il sort de prison) Daniel (aka Gérard Meylan) ça se passe assez mal, ça grippe ça coince ça hurle - ça se termine très mal - une espèce de tragédie (que nous reste-t-il si l'espoir et la liberté nous sont enlevés ? si la dignité dans le travail est bafouée par des lois inqualifiables ? brrr... sinon dans le sang, on ne voit pas bien comment pourrait se résoudre ces violences : cette humanité-là...) (ainsi passe sa gloire...) (faudrait quand même se réveiller merde à la fin !!!) (sic transit) Gloria Mundi (Robert Guédiguian; 2019)(image (Pierre Milon) son (Laurent Lafran) décor (Michel Vandestein) costumes (Anne-Marie Giacalone) : toujours les mêmes : la famille)
OK ! En relisant avant publication, j'avais pensé à un film d'Alain Tanner, je pense, où l'on voit Bulle Ogier travailler dans une usine de saucisses...
La Salamandre, oui (1971)...
Oui, c'est ça, avec Jean-Kuc Bideau
Elle n'avait décidément aucune raison valable de se récurer
@ste Cette phrase, on dirait un pavé de "On Suze vite"
Ahah, oui, merci, un pavé de mauvaises intentions!
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