(c'est un petit peu loin,mais c'est un classique - âmes sensibles s'abstenir) (j'ai pensé un peu à L'invasion des profanateurs de sépultures (Don Siegel,1956) mais non, il n'y a pas cette composante féminine qui emporte le P/E* du jour) (ici c'est Barbara (Judith O'Dea) qui tient le rôle (dans le poème elle est nettement plus gaillarde que dans le film) elle est avec son frère (il meurt direct au début du film) (c'est quand même assez gore comme affaire : l'angoisse est là - ne pas projeter aux enfants, jt'assure) puis elle fuit elle trouve de l'aide auprès d'un chauffeur de camion, black (Duane Johnson, convaincant) qui mourra à la fin, pris pour un zombie (la police alors comme maintenant commet des bavures, tu sais bien) - comme je vois que tu es dans le mood des zombies, en voilà en veux-tu un plein cimetière ça bouge en automates ça effraye les vierges (enfin j'interprète) ça fout les jetons aux vieillards enfin tout le kit - à sa sortie en France début 70, ça jouissait d'une aura funèbre (moins que l'Exorciste cependant (William Friedkin, 1973)) - ce qui est ici sans doute remarquable est la production (budget minuscule mais exploitation formidable, cinéma indépendant) bouts de ficelles et effets spéciaux basiques (ça a donné lieu à des exploitations dans tous les sens - les films de zombies, l'horreur ces trucs-là que je ne goûte pas particulièrement - la musique, la nuit, le sang, la mort enfin tu vois) La Nuit des morts vivants (Georges Romero, 1968)
@PCH J'avais 20 ans cette année-là, mais j'ai dû voir ce film bien plus tard à la télévision. Je me souviens davantage du Don Siegel (vu à la télé aussi) surtout que j'ai composé ce poème : "L'invasion des profanateurs de littérature" @ste Toujours aussi bon œil ! Bravo ! Merci pour le courrier personnel et ses révélations.
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
3 Comments:
(c'est un petit peu loin,mais c'est un classique - âmes sensibles s'abstenir) (j'ai pensé un peu à L'invasion des profanateurs de sépultures (Don Siegel,1956) mais non, il n'y a pas cette composante féminine qui emporte le P/E* du jour) (ici c'est Barbara (Judith O'Dea) qui tient le rôle (dans le poème elle est nettement plus gaillarde que dans le film) elle est avec son frère (il meurt direct au début du film) (c'est quand même assez gore comme affaire : l'angoisse est là - ne pas projeter aux enfants, jt'assure) puis elle fuit elle trouve de l'aide auprès d'un chauffeur de camion, black (Duane Johnson, convaincant) qui mourra à la fin, pris pour un zombie (la police alors comme maintenant commet des bavures, tu sais bien) - comme je vois que tu es dans le mood des zombies, en voilà en veux-tu un plein cimetière ça bouge en automates ça effraye les vierges (enfin j'interprète) ça fout les jetons aux vieillards enfin tout le kit - à sa sortie en France début 70, ça jouissait d'une aura funèbre (moins que l'Exorciste cependant (William Friedkin, 1973)) - ce qui est ici sans doute remarquable est la production (budget minuscule mais exploitation formidable, cinéma indépendant) bouts de ficelles et effets spéciaux basiques (ça a donné lieu à des exploitations dans tous les sens - les films de zombies, l'horreur ces trucs-là que je ne goûte pas particulièrement - la musique, la nuit, le sang, la mort enfin tu vois) La Nuit des morts vivants (Georges Romero, 1968)
SoUs tErre. Les
nappeS de brUmE. La
SoUtErraine, L'étrange
Sensations toUchaiEnt soL
SoUtErraine Le
SoUtErraine L'éboulement
[les 6 SUEL]
@PCH J'avais 20 ans cette année-là, mais j'ai dû voir ce film bien plus tard à la télévision. Je me souviens davantage du Don Siegel (vu à la télé aussi) surtout que j'ai composé ce poème : "L'invasion des profanateurs de littérature"
@ste Toujours aussi bon œil ! Bravo ! Merci pour le courrier personnel et ses révélations.
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