Colonnes dénudées (10)
TRACES
ROUGES 
3.MAJEUR.
Les
charmes à 
saisir
du bas 
lancent
votre 
impulsion
nue 
vers
le globe 
lumineux
d'un 
astre
de rose 
chair.
Appâté 
par
la tendre 
sirène,
je me 
concentre
sur 
l'extrémité
à 
vite
mouiller 
de
mon majeur 
tendu
vers le 
bleu
du ciel.
Mon
impatient 
organe
éclate 
par
le cirque 
déserté
où le 
pitre
auguste 
remonta
notre 
pantalon
usé.
J'étais
plat.
Ma
vision est 
habitude.
Une 
atmosphère
de 
rondeur
serre 
le
bar envahi 
d'une
odeur à 
vomir
d'huile 
rance
de riz.
Souvent,
nous 
imaginons
que 
le
rêve singe 
les
fonctions 
naturelles
et 
laisse
entier 
le
col pansu.
Libellés : Archives, Colonnes dénudées, Lucien Suel, Poésie, Vers arithmogrammatiques, Vers justifiés


   
   
  
  
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