TRANSPORT VISAGE DECOUVERT (épisode 2)
2
CARESSE DE L’ODEUR ODEUR DU SON
SON DU GOÛT.
Ils (les danseurs) s’allongent, s’étalent comme des fromages, mais les autres, les puces, la vermine électrique, c’est grave autrement grave ! Les arrière-petits-fils des nains ont grandi, ils ont été contraints au scénario : « Jeunes Automobilistes Crépitants ». Le vent (l’automne) et la caméra (Kamerad) tournent. On entend pour la première fois blue suede love me shoes tender jail house only rock you.
Sourire bleu renversé dans la glissade d'un fromage rouge.
« Nous avons besoin de Protection périodique. », voilà ce qu’ils demandent : le capitaine cœur de bœuf, les bicyclettes du désespoir, le velours sous la terre, les étrangleurs, les damnés et le père Ubu. Représailles au fil d’ans. Ils passent et le fil casse. Le travail se mâche comme le papier. Cosmik Galata est resté tout le concert appuyé contre un pilier de soutènement un peu à droite de la scène. Il est là Hier Aujourd’hui et Demain. Les Tigres de la Wehrmacht et Les Chats Sauvages de l’Olympia et les Lions de Juda grimpent sur les escabeaux rouges et blancs du cirque Zapata.
I touch yellow.
I bite blue.
I scratch red.
à suivre...
Libellés : Cosmik Galata, Feuilleton, Lucien Suel, Poésie, TVD
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