(la scène du P/E* est hors champ, et même il n'est pas avéré que la vieille Ma Rizzo fasse du tricot mais enfin, on ne discute pas exagérément : le poème m'a fait souvenir du rire de Udo) (tous les 30 avril, on fête sur le rézosocio fb le comédien qui interprète le rôle, et surtout (pour ma part) son rire : Richard Widmark (on pose une image et le tour est joué))) (cette fête est assez confidentielle, je reconnais) voilà donc Ma Rizzo avec son ouvrage, au premier étage de la maison, Udo (ce chien galeux) cherche Rizzo (il n'est pas là) pour lui faire peur, il décide de précipiter la pauvre infirme dans l'escalier - et il en rit, ce dément... une scène terrifiante, dans le genre du film noir comme on en faisait juste après guerre... Frissons assez garantis - mise en scène assez convenue, cependant - un noir et blanc pourtant tranché comme on aime (image : Norbert Brodine, solide professionnel) Kiss of death (le baiser de la mort) (en français Le Carrefour de la mort) un classiquement classique du film noir (un rire qui reste attaché à Richard) en vedette (je ne l'apprécie que très moyennement) Victor Mature (Henry Hataway, 1947) (scénario Ben Hecht quand même, pour la fin)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
2 Comments:
mélange en rang corps
(la scène du P/E* est hors champ, et même il n'est pas avéré que la vieille Ma Rizzo fasse du tricot mais enfin, on ne discute pas exagérément : le poème m'a fait souvenir du rire de Udo) (tous les 30 avril, on fête sur le rézosocio fb le comédien qui interprète le rôle, et surtout (pour ma part) son rire : Richard Widmark (on pose une image et le tour est joué))) (cette fête est assez confidentielle, je reconnais) voilà donc Ma Rizzo avec son ouvrage, au premier étage de la maison, Udo (ce chien galeux) cherche Rizzo (il n'est pas là) pour lui faire peur, il décide de précipiter la pauvre infirme dans l'escalier - et il en rit, ce dément... une scène terrifiante, dans le genre du film noir comme on en faisait juste après guerre... Frissons assez garantis - mise en scène assez convenue, cependant - un noir et blanc pourtant tranché comme on aime (image : Norbert Brodine, solide professionnel) Kiss of death (le baiser de la mort) (en français Le Carrefour de la mort) un classiquement classique du film noir (un rire qui reste attaché à Richard) en vedette (je ne l'apprécie que très moyennement) Victor Mature (Henry Hataway, 1947) (scénario Ben Hecht quand même, pour la fin)
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