il y avait Voyage en Italie (Roberto Rossellini, 1954) qui est venu immédiatement - c'est que la mémoire fait des faux, comme on sait - il ne semble pas que Katherine Joyce fut enceinte cependant (c'est ce que j'ai compris avec le P/E* du jour) - j'ai beaucoup aimé cependant ce que madame Ingrid Bergman raconte (dans ses mémoires assez sympathiques (on ne l'oubliera jamais dans Casablanca (Michael Curtiz, 1942) ni dans Notorious (Les enchaînés, Sir Alfred, 1946) : impossible) sur le tournage de ce film, la vacuité du scénario qui devait être adapté un roman de Colette dont les droits n'étaient pas libres etc.) (la lettre d'Ingrid à Roberto restera peut-être dans les souvenirs) suivi immédiatement par Vacances Romaines (William Whyler, 1954) à cause du katogan certainement (il ne semble pas que cette princesse Ann soit enceinte cependant non plus (Audrey Hepburn, si mignonne) - ça va venir étant donné l'amour électrique qui l'unira à Joe Bradley (Gregory Peck) - le mouvement était pris (le 8 mars est un jour assez spécial - l'anniversaire de la grand-mère de mes enfants, si tu veux) - mais il y a une femme que j'adore, sa photo son image a eu la grâce de se voir honorée illustration d'un P/E* (675), c'est Mabel Longhetti (quelle merveille) (le poème se déroule plusieurs années avant le film) (elle attend l'un de ses trois enfants - je ne sais plus exactement lequel - elle se regarde au miroir, tandis que son mari Nick dort encore - elle reportera ses talons hauts et sa jupe étroite (une robe) (quelle beauté et quelle tristesse, cependant, que ce film...) (tant pis, c'est fait) (s'il se pouvait, il faudrait arrêter de boire, Mabel...) (elle c'est Gena Rowlands, lui Peter Falk) Une femme sous influence (John Cassavetes, 1974)
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il y avait Voyage en Italie (Roberto Rossellini, 1954) qui est venu immédiatement - c'est que la mémoire fait des faux, comme on sait - il ne semble pas que Katherine Joyce fut enceinte cependant (c'est ce que j'ai compris avec le P/E* du jour) - j'ai beaucoup aimé cependant ce que madame Ingrid Bergman raconte (dans ses mémoires assez sympathiques (on ne l'oubliera jamais dans Casablanca (Michael Curtiz, 1942) ni dans Notorious (Les enchaînés, Sir Alfred, 1946) : impossible) sur le tournage de ce film, la vacuité du scénario qui devait être adapté un roman de Colette dont les droits n'étaient pas libres etc.) (la lettre d'Ingrid à Roberto restera peut-être dans les souvenirs) suivi immédiatement par Vacances Romaines (William Whyler, 1954) à cause du katogan certainement (il ne semble pas que cette princesse Ann soit enceinte cependant non plus (Audrey Hepburn, si mignonne) - ça va venir étant donné l'amour électrique qui l'unira à Joe Bradley (Gregory Peck) - le mouvement était pris (le 8 mars est un jour assez spécial - l'anniversaire de la grand-mère de mes enfants, si tu veux) - mais il y a une femme que j'adore, sa photo son image a eu la grâce de se voir honorée illustration d'un P/E* (675), c'est Mabel Longhetti (quelle merveille) (le poème se déroule plusieurs années avant le film) (elle attend l'un de ses trois enfants - je ne sais plus exactement lequel - elle se regarde au miroir, tandis que son mari Nick dort encore - elle reportera ses talons hauts et sa jupe étroite (une robe) (quelle beauté et quelle tristesse, cependant, que ce film...) (tant pis, c'est fait) (s'il se pouvait, il faudrait arrêter de boire, Mabel...) (elle c'est Gena Rowlands, lui Peter Falk) Une femme sous influence (John Cassavetes, 1974)
carré distendu hélas
Cassavetes, quelle oeuvre !
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