vendredi 22 février 2019

Poème express n° 756

posted by Lucien Suel at 07:38

6 Comments:

Anonymous ste said...

en vie mourir

11:08  
Blogger Lucien Suel said...

occis mort

13:22  
Anonymous Anonyme said...

(moi non plus) (mais qu'est-ce que ça peut faire ?)

alors là, il y a (fatalement) Judy Garland (c'est plutôt Vicky Lester, mais pour ce film-là, c'est Judy) (je n'y peux rien, elle est là, et elle chante - enfin elle a chanté et elle chantera) (la grande classe et ses yeux...) (alors il y a aussi ce type, Norman Maine - il s'agit d'une ligne de son dialogue qui est reprise au P/E* du jour - qui a été, mais qui ne sera plus une star - comme il s'agit de James Mason, qu'on est en 54, et qu'il lui reste 30 ans à vivre et incarner des merveilles de rôles, et qu'on l'aime assez, on ne le plaint pas trop - il faut dire qu'il est un peu salaud dans le film) (je reconnais qu'il a bu mais quand même) (elle, elle l'aime) (lui il lui dit "je voulais juste te regarder", et elle sort en lui souriant) (si tu n'as jamais vu ça au cinéma, tu n'as jamais rien vu : on aimerait tant les voir s'embrasser encore, et qu'ils vivent) (il porte un peignoir de bain, blanc, il sort, il pense - c'est sa pensée, là, sur la plage, on ne l'entend pas on ne la lit que dans ce magnifique poème) le soleil se couche - il va nager au large- il va mourir (les frissons, les larmes, les soupirs...) (la mer emporte le peignoir - ça se passe à Venice, ou Malibu je ne sais plus, l'océan est Pacifique) (image Sam Leavitt, couleurs splendides) Une étoile est née (Georges Cukor, 1954) (et les chansons...) (pour savoir ce que c'est que le cinéma - cette merveille - et ce que c'est qu'Hollywood - cette cruauté, et le regard de Judy pour qui on se damnerait) (remake d'un autre de William Welmman, 1934 - qui ne lui arrivait pas à la cheville - et refait encore et encore (bof - inutilement) un des sommets du film musical (FOR-MI-DA-BLE)

17:16  
Anonymous ste said...

envie de mur

12:17  
Anonymous ste said...

Je n'ai pas envie de mou

12:18  
Anonymous Anonyme said...

Peut-on vraiment poser sérieusement quelque question que ce soit qui aurait encore du « sens » en posant l'éternité, nous, si mortelLEs. Déjà une planète surpeuplée, qui se meurt. Exclut-on la souffrance? Psychologique aussi? Donc le plaisir? Le désir? Malgré tout, si l'éternité suppose l'égalité, l'éducation scientifique sans licorne phallique volante et turlututus magiques lavant les cerveaux, je vote pour. Sans douleurs physiques. Mais on ne peut en poser. Aucune. Alors peut-être que mon commentaire s'éteint aussi.

Zéo

21:55  

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