(en un sens, un militaire qui ne se bat pas, qui ne fait pas la guerre quelque imbécile idiote absurde ou bête qu'elle puisse être est un être un chômage) (parfois certains films - on ne sait pas pourquoi, quelle sinistre aura les ceint, certains films ne parviennent pas à emporter les sentiments) (regarde ici une distribution d'airain, des techniciens formidables, des auteurs des artistes extraordinaires - musique Ennio Morricone ou lumière Luciano Tovoli, deux grands maîtres incontestables et magnifiques - Valerio Zurlini, un type d'une finesse et d'une intelligence rare (il faut voir "Journal intime" (avec le même Jacques Perrin et Marcello (ah Marcelllo...!!!) - eh ben je m'en souviens (fin des années 70) (le livre de Dino Buzatti, lu plus tard (1940) avait emporté nettement plus, mais une adhésion mitigée pourtant quand même) en sortant, quelque chose comme une amertume, une rancoeur, un désir d'oubli) (la chanson "Zangra" de Jacques Brel, du fort de Belonzo, oui, cette chanson-là...) (c'est certain, ils ne viendront jamais, on mourra avant...) ("Le désert des Tartares", Valerio Zurlini, 1976 avec Vittorio Gassman et Philippe Noiret et Jean-Louis Trintignant et Laurent Terzieff et Max von Sydow...)
"Personne ne viendra." Tu as mis le doigt dessus. Je savais bien que j'avais lu cette phrase quelque part. Le désert des Tartares, en plus ça rime. Merci.
Personne ne viendra car d'une façon ou d'une autre, on est cuits. Ne soyez pas idiots comme vos cerveaux. Ce n'étaient pas des imbéciles donc ils étaient au chômage. Le hululement lointain d'une sirène marine s'éleva fusément.
6 Comments:
(en un sens, un militaire qui ne se bat pas, qui ne fait pas la guerre quelque imbécile idiote absurde ou bête qu'elle puisse être est un être un chômage) (parfois certains films - on ne sait pas pourquoi, quelle sinistre aura les ceint, certains films ne parviennent pas à emporter les sentiments) (regarde ici une distribution d'airain, des techniciens formidables, des auteurs des artistes extraordinaires - musique Ennio Morricone ou lumière Luciano Tovoli, deux grands maîtres incontestables et magnifiques - Valerio Zurlini, un type d'une finesse et d'une intelligence rare (il faut voir "Journal intime" (avec le même Jacques Perrin et Marcello (ah Marcelllo...!!!) - eh ben je m'en souviens (fin des années 70) (le livre de Dino Buzatti, lu plus tard (1940) avait emporté nettement plus, mais une adhésion mitigée pourtant quand même) en sortant, quelque chose comme une amertume, une rancoeur, un désir d'oubli) (la chanson "Zangra" de Jacques Brel, du fort de Belonzo, oui, cette chanson-là...) (c'est certain, ils ne viendront jamais, on mourra avant...) ("Le désert des Tartares", Valerio Zurlini, 1976 avec Vittorio Gassman et Philippe Noiret et Jean-Louis Trintignant et Laurent Terzieff et Max von Sydow...)
"Personne ne viendra." Tu as mis le doigt dessus. Je savais bien que j'avais lu cette phrase quelque part.
Le désert des Tartares,
en plus ça rime.
Merci.
Poème compressexpress
Personne ne cuit.
Ne soyez pas au chômage.
Le lointain unira.
Ce pcxp est quasiment un haïku régulier (5+7+5) !
Poème expansexpress
Personne ne viendra car d'une façon ou d'une autre, on est cuits.
Ne soyez pas idiots comme vos cerveaux.
Ce n'étaient pas des imbéciles donc ils étaient au chômage.
Le hululement lointain d'une sirène marine s'éleva fusément.
:-) Le vendredi, c'est l'atelier d'écriture au Silo !
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