(ah les comptes ronds, quelle abomination) (je me rends compte que ce qui anime le commentateur c'est - ce serait punaize- le plaisir de revoir ces films) on partirait bien, après cette vision appétissante de la réalité de la vie des cuisines, de ces yeux bovins : un acteur que j'adore Louis Jouvet a quelque chose, mais dans le film il n'est pas en cuisine - il y a cette merveille qui se nomme Cornelia (Françoise Rosay dans le rôle) la femme du maire (bourgmestre d'une couardise gluante - ça se passe en Flandres, début dix septième) c'est Jacques Feyder (je l'adore aussi, lui) (c'est le mari de la Françoise, la vraie merveille du film - courageuse, hâbleuse, tellement drôle) qui réalise (1935) (scénario : Charles Spaak, décors Alexandre Trauner : on y va les yeux grand ouverts) (au cadre Louis Page qui a suivi longtemps l'un autre de mes préférés français - s'il se peut de catégoriser ainsi - Jean Grémillon) je me souviens de la préparation du repas et ça me conduit à cette autre magnifique cuisine et actrice, cette Babette et son festin (incarnée par Stéphane Audran, qu'est-ce qu'on l'aime aussi, celle-ci) (le Festin de Babette (d'après une nouvelle de Karen Blixen), Gabriel Axel, 1987)
(factorielle mille, tu pousses un peu, ste) en même temps, ça nous fait 500 semaines - enfin je ne compte pas les vacances disons à 40 l'année, ça va chercher dans plus de deux lustres pratiquement et , si tu veux mon Lucien, je ne compte pas vraiment aller jusque là moi... enfin qui peut dire ? ni moi ni toi ni dieu ni maître - continuons de concert hein...)
@ste : ça m'apprendra à mettre des ! un peu trop souvent. J'aurais dû me contenter s'un simple point final. Objectif 1 000. Si vous me permettez, cette réduction plaira à tous les consommateurs de #poèmesexpress. @pch : oui, continuons de concert sans mesurer le temps. Ni vieux ni mètre.
PARIS, le 8 mars 2019, à partir de 19h30, à l’Hôtel Marignan,13, rue du Sommerard 75005, lecture-performance dans le cadre des vidéo-poèmes réalisés par Pierre Lamassoure. Entrée libre.
---
SENLIS, le 9 mars 2019, à 15h30, à la Librairie « Le Verbe et l’objet », lecture-rencontre signature autour des ouvrages récemment parus.
---
AUXI-LE-CHÂTEAU, 15 mars 2019, à 19h, Médiathèque de l’Auxilois, rue Roger Salengro, projection du documentaire réalisé par Jean-Michel Jacquemin « Le jardin et le poète », suivi d’un entretien avec Lucien Suel. En partenariat avec Elea.
---
PARIS, présence au Salon du Livre le 18 mars 2019 après-midi, sur le stand des éditions Cours toujours.
---
CHÂTEAU-THIERRY, le 19 mars 2019, au lycée Jean de La Fontaine, lecture-rencontre. Précisions à suivre.
---
AMIENS,le 22 mars entre 16h et 19h, dans la librairie du Labyrinthe, présentation, lecture et signature de « D’ù qui sont chés viaux ? », ouvrage bilingue picard-français édité par cette même librairie.
---
AMIENS, le 23 mars 2019, à la bibliothèque Louis Aragon, présence au Salon du Livre de poésie avec les éditions Cours-toujours et la Librairie du Labyrinthe. Lecture publique (20 mn) à 15 h.
---
BONDUES, le 24 mars 2019, présence au Salon du Livre sur le stand des éditions Henry.
---
LA TIREMANDE – MENTON, via Skype, dialogue avec les étudiants de Sciences-Po Menton et leur enseignant Paul Brg à propos des poèmes express : http://formation.sciences-po.fr/enseignement/2018/BART/23F02
---
CAMBO-les-BAINS, au Pays Basque, le 28 mars 2019, lecture de « Mort d’un jardinier » à la Villa Arnaga, maison d’Edmond Rostand, dans le cadre des journées d’études organisées par la Fédération nationale des maisons d’écrivain & des patrimoines littéraires autour du thème « Jardins & Maisons d’écrivain »
---
LYS-lez-LANNOY, le 26 avril 2019, à 17h15, lecture-rencontre au collège Gambetta.
---
ECQUES, le 12 mai 2019, présence au Salon du livre
---
CHÂTEAU-THIERRY, le 2 juin 2019, présence au Salon du livre.
---
LE CROTOY, Lire en Baie, le 8 juin 2019, présence à la Fête du Livre sur le stand des éditions Henry.
---
SAINT-OMER, en août 2019, résidence d’écriture et de traduction en picard organisée par les Lettres Européennes avec la mairie de Saint-Omer à la Motte castrale.
---
LILLE, sous réserve, présentation des « Vers de la Terre » à la Chouette librairie...
"D'ù qui sont ches viaux". "Où sont les veaux" Aux éditions de La Librairie du Labyrinthe le 20 février 2019, ouvrage bilingue picard-français regroupant l’ensemble de mes poèmes, chroniques et histoires écrites en picard
Format 12cmx18cm - 64 pages – 8 €
Une présentation est prévue le 22 mars à partir de 17h dans la Librairie du Labyrinthe à Amiens.
Contact : liblab88@free.fr
---
"Remous" (Poésie élémentaire) chez Propaganda-Productions.
---
"La Justification de l'abbé Lemire" Réédition aux éditions Faï Fioc en mai-juin 2019.
Contact : edfaifioc@gmail.com
---
"Mais ourson les neiges d'antan ?" Livre-album, collaboration entre Lucien Suel et le peintre et graveur William Brown. Aux éditions Pierre Mainard en 2019 ou 2020.
Contact : mainardeditions@free.fr
7 Comments:
(ah les comptes ronds, quelle abomination) (je me rends compte que ce qui anime le commentateur c'est - ce serait punaize- le plaisir de revoir ces films) on partirait bien, après cette vision appétissante de la réalité de la vie des cuisines, de ces yeux bovins : un acteur que j'adore Louis Jouvet a quelque chose, mais dans le film il n'est pas en cuisine - il y a cette merveille qui se nomme Cornelia (Françoise Rosay dans le rôle) la femme du maire (bourgmestre d'une couardise gluante - ça se passe en Flandres, début dix septième) c'est Jacques Feyder (je l'adore aussi, lui) (c'est le mari de la Françoise, la vraie merveille du film - courageuse, hâbleuse, tellement drôle) qui réalise (1935) (scénario : Charles Spaak, décors Alexandre Trauner : on y va les yeux grand ouverts) (au cadre Louis Page qui a suivi longtemps l'un autre de mes préférés français - s'il se peut de catégoriser ainsi - Jean Grémillon) je me souviens de la préparation du repas et ça me conduit à cette autre magnifique cuisine et actrice, cette Babette et son festin (incarnée par Stéphane Audran, qu'est-ce qu'on l'aime aussi, celle-ci) (le Festin de Babette (d'après une nouvelle de Karen Blixen), Gabriel Axel, 1987)
Brav(7)00 !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Merci !
Objectif 1000 !
A suivre...
Je vous souhaite de vivre assez infiniment pour arriver jusqu´au numéro 1000! (1000 factorielle).
Si vous me permettez une nouvelle réduction :
Le patron ouvrit des bovins.
La cuisine était d´une clinique.
Les sauces mijotaient luisantes.
En bon ordre s´alignaient les carcasses de farine.
(factorielle mille, tu pousses un peu, ste) en même temps, ça nous fait 500 semaines - enfin je ne compte pas les vacances disons à 40 l'année, ça va chercher dans plus de deux lustres pratiquement et , si tu veux mon Lucien, je ne compte pas vraiment aller jusque là moi... enfin qui peut dire ? ni moi ni toi ni dieu ni maître - continuons de concert hein...)
@ste : ça m'apprendra à mettre des ! un peu trop souvent. J'aurais dû me contenter s'un simple point final.
Objectif 1 000.
Si vous me permettez, cette réduction plaira à tous les consommateurs de #poèmesexpress.
@pch : oui, continuons de concert sans mesurer le temps. Ni vieux ni mètre.
Enregistrer un commentaire
<< Home