(ah les comptes ronds, quelle abomination) (je me rends compte que ce qui anime le commentateur c'est - ce serait punaize- le plaisir de revoir ces films) on partirait bien, après cette vision appétissante de la réalité de la vie des cuisines, de ces yeux bovins : un acteur que j'adore Louis Jouvet a quelque chose, mais dans le film il n'est pas en cuisine - il y a cette merveille qui se nomme Cornelia (Françoise Rosay dans le rôle) la femme du maire (bourgmestre d'une couardise gluante - ça se passe en Flandres, début dix septième) c'est Jacques Feyder (je l'adore aussi, lui) (c'est le mari de la Françoise, la vraie merveille du film - courageuse, hâbleuse, tellement drôle) qui réalise (1935) (scénario : Charles Spaak, décors Alexandre Trauner : on y va les yeux grand ouverts) (au cadre Louis Page qui a suivi longtemps l'un autre de mes préférés français - s'il se peut de catégoriser ainsi - Jean Grémillon) je me souviens de la préparation du repas et ça me conduit à cette autre magnifique cuisine et actrice, cette Babette et son festin (incarnée par Stéphane Audran, qu'est-ce qu'on l'aime aussi, celle-ci) (le Festin de Babette (d'après une nouvelle de Karen Blixen), Gabriel Axel, 1987)
(factorielle mille, tu pousses un peu, ste) en même temps, ça nous fait 500 semaines - enfin je ne compte pas les vacances disons à 40 l'année, ça va chercher dans plus de deux lustres pratiquement et , si tu veux mon Lucien, je ne compte pas vraiment aller jusque là moi... enfin qui peut dire ? ni moi ni toi ni dieu ni maître - continuons de concert hein...)
@ste : ça m'apprendra à mettre des ! un peu trop souvent. J'aurais dû me contenter s'un simple point final. Objectif 1 000. Si vous me permettez, cette réduction plaira à tous les consommateurs de #poèmesexpress. @pch : oui, continuons de concert sans mesurer le temps. Ni vieux ni mètre.
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
7 Comments:
(ah les comptes ronds, quelle abomination) (je me rends compte que ce qui anime le commentateur c'est - ce serait punaize- le plaisir de revoir ces films) on partirait bien, après cette vision appétissante de la réalité de la vie des cuisines, de ces yeux bovins : un acteur que j'adore Louis Jouvet a quelque chose, mais dans le film il n'est pas en cuisine - il y a cette merveille qui se nomme Cornelia (Françoise Rosay dans le rôle) la femme du maire (bourgmestre d'une couardise gluante - ça se passe en Flandres, début dix septième) c'est Jacques Feyder (je l'adore aussi, lui) (c'est le mari de la Françoise, la vraie merveille du film - courageuse, hâbleuse, tellement drôle) qui réalise (1935) (scénario : Charles Spaak, décors Alexandre Trauner : on y va les yeux grand ouverts) (au cadre Louis Page qui a suivi longtemps l'un autre de mes préférés français - s'il se peut de catégoriser ainsi - Jean Grémillon) je me souviens de la préparation du repas et ça me conduit à cette autre magnifique cuisine et actrice, cette Babette et son festin (incarnée par Stéphane Audran, qu'est-ce qu'on l'aime aussi, celle-ci) (le Festin de Babette (d'après une nouvelle de Karen Blixen), Gabriel Axel, 1987)
Brav(7)00 !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Merci !
Objectif 1000 !
A suivre...
Je vous souhaite de vivre assez infiniment pour arriver jusqu´au numéro 1000! (1000 factorielle).
Si vous me permettez une nouvelle réduction :
Le patron ouvrit des bovins.
La cuisine était d´une clinique.
Les sauces mijotaient luisantes.
En bon ordre s´alignaient les carcasses de farine.
(factorielle mille, tu pousses un peu, ste) en même temps, ça nous fait 500 semaines - enfin je ne compte pas les vacances disons à 40 l'année, ça va chercher dans plus de deux lustres pratiquement et , si tu veux mon Lucien, je ne compte pas vraiment aller jusque là moi... enfin qui peut dire ? ni moi ni toi ni dieu ni maître - continuons de concert hein...)
@ste : ça m'apprendra à mettre des ! un peu trop souvent. J'aurais dû me contenter s'un simple point final.
Objectif 1 000.
Si vous me permettez, cette réduction plaira à tous les consommateurs de #poèmesexpress.
@pch : oui, continuons de concert sans mesurer le temps. Ni vieux ni mètre.
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