Debout les marmites mitonnaient sexy sur le feu vicieux. Sorties des peaux quelques veines saillaient. L'huile se la grésillait. Son souffle tsunamié était d'un saccadé-piston.
(back from Napoli - che belle cità !) (je dis ça parce que ce réalisateur, Sergio Leone en l'occurrence, non encore apparu ici- voici, c'est réparé - tient une place particulière dans la biographie du commentateur (qui fait, apparemment école ?) ici à n'en pas douter on est dans une des cuisines qu'affectionnent particulièrement les mafieux de tous poils - ici il s'agit de Joe (aka Burt Youth - une seule fois vu, à jamais reconnu) les grésillements, les veines qui saillent, la cruauté, le machisme, l'horreur et l'illusion, tout y est (j'adore quand , vers la fin, on voit Noodles (alias Robert de Niro) regarder de loin son ami Max (James Woods, extra de duplicité) qui se jette (dirait-on) dans une benne à ordures qui déchiquette tout ce qu'elle touche...) (brrr : sanguinolent, libidinal, le grand amour et la prohibition, les haines, les meurtres, toutes les horreurs du monde, et un peu ici, ou là, quelque chose de la vraie nature crue et cruelle de l'histoire étazunienne) (ou du moins de sa représentation) (en un seul mot un chef d'oeuvre - et le dernier de Sergio Leone qui a été privé (par la Warner et par contrat - dépassement de 2h 45 à 3h 15 : les producteurs, parfois, sont de vrais connards) du montage final et qui est mort, sans doute pas uniquement par cette cause, dans un état de profonde tristesse (dommage, mais la vérité est, très souvent, assez mauvaise camarade)
La page complète était vraiment horrible. Mais avec ce que j'ai laissé tu as bien réussi à sentir l'odeur de la mort.Et au retour de Naples, la présence de la pieuvre.
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
6 Comments:
Les maris en veine saillaient.
Lui grillait. Soufflait.
Passer du poème express au poème court.
Merci.
Debout les marmites mitonnaient sexy sur le feu vicieux.
Sorties des peaux quelques veines saillaient.
L'huile se la grésillait.
Son souffle tsunamié était d'un saccadé-piston.
LU iCI EN SUc miEL
@ste Vous inventez le poème express expansé !
(back from Napoli - che belle cità !) (je dis ça parce que ce réalisateur, Sergio Leone en l'occurrence, non encore apparu ici- voici, c'est réparé - tient une place particulière dans la biographie du commentateur (qui fait, apparemment école ?) ici à n'en pas douter on est dans une des cuisines qu'affectionnent particulièrement les mafieux de tous poils - ici il s'agit de Joe (aka Burt Youth - une seule fois vu, à jamais reconnu) les grésillements, les veines qui saillent, la cruauté, le machisme, l'horreur et l'illusion, tout y est (j'adore quand , vers la fin, on voit Noodles (alias Robert de Niro) regarder de loin son ami Max (James Woods, extra de duplicité) qui se jette (dirait-on) dans une benne à ordures qui déchiquette tout ce qu'elle touche...) (brrr : sanguinolent, libidinal, le grand amour et la prohibition, les haines, les meurtres, toutes les horreurs du monde, et un peu ici, ou là, quelque chose de la vraie nature crue et cruelle de l'histoire étazunienne) (ou du moins de sa représentation) (en un seul mot un chef d'oeuvre - et le dernier de Sergio Leone qui a été privé (par la Warner et par contrat - dépassement de 2h 45 à 3h 15 : les producteurs, parfois, sont de vrais connards) du montage final et qui est mort, sans doute pas uniquement par cette cause, dans un état de profonde tristesse (dommage, mais la vérité est, très souvent, assez mauvaise camarade)
La page complète était vraiment horrible. Mais avec ce que j'ai laissé tu as bien réussi à sentir l'odeur de la mort.Et au retour de Naples, la présence de la pieuvre.
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