samedi 21 mars 2015

Il pleut ou il fait beau... (51)

Boîte à couture introuvable (appart est tout retourné). En urgence pourtant
boutons sont à replacer, pour commander imper capital, machine à espionner,
faut que je m'appuie dessus et que ça me commande,
j'aimerais que par elle-même elle sorte boîte de sa cachette :
cassette en mains ; rapiécer au féminin ; elle proposera forcément de recoudre !
« Tu oublies rondelé de mon ventre, les chas et la toxoplasmose,
et négliges ta graine en rêvant de missions sensibles à Formose.
Tu m'obliges même à évoquer le rebondi contre ton sexisme ».
Je change de plan, enfile moi-même nacre en trou, mission imminente,
serre les fils alors que pluie approche, faut que je speede,
intrépide, que je sois prêt à combattre une petite pluie fine,
une tenace à faire douter qui imprègne, je préférerais ne pas
qu'elle impose son règne – en même temps mastic la réclame
et des rais brillants filtrent sous les ouvertures des persiennes fermées,
je vois tout en reflet : des mots, des bruits de papier,
mais aucun pan ne m'affecte. C'est encore un échec.
à suivre...
« Il pleut ou il fait beau tout le temps au début », un feuilleton de St. Batsal(le pôle qu'elle nie)
ce texte n'est pas tiré d'un vrai fait divers, de même que toute ressemblance, y compris en URSS.

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posted by Lucien Suel at 07:30