Coxyde
Chapelet, un voyage en vers justifiés de Knokke-Le-Zoute à La Panne
8
Coxyde
mur de
colère
sonore
tribus
remous
de ses
fesses
renvoi
aqueux
éructé
bulles
qui se
lèvent
de ces
fanges
denses
tomber
soleil
sur la
mer où
la vie
tangue
au ras
du gaz
pilote
exalté
l'ange
du sel
fortes
gifles
garder
un bon
déchet
faveur
féroce
pivots
disque
du nom
vaches
fumier
cochon
pourri
glande
ventre
le sac
ouvert
prison
la vie
petite
à mort
aimant
femmes
frêles
angine
bovine
il est
adulte
maigre
pauvre
soldat
colons
corons
l'idée
retour
morose
accord
toubib
nurses
hardes
salons
cheveu
au sec
tel un
gosier
cireux
l'oeil
ouvert
noirci
Coxyde
mur de
colère
sonore
tribus
remous
de ses
fesses
renvoi
aqueux
éructé
bulles
qui se
lèvent
de ces
fanges
denses
tomber
soleil
sur la
mer où
la vie
tangue
au ras
du gaz
pilote
exalté
l'ange
du sel
fortes
gifles
garder
un bon
déchet
faveur
féroce
pivots
disque
du nom
vaches
fumier
cochon
pourri
glande
ventre
le sac
ouvert
prison
la vie
petite
à mort
aimant
femmes
frêles
angine
bovine
il est
adulte
maigre
pauvre
soldat
colons
corons
l'idée
retour
morose
accord
toubib
nurses
hardes
salons
cheveu
au sec
tel un
gosier
cireux
l'oeil
ouvert
noirci
Libellés : Chapelet, Feuilleton, Lucien Suel, Vers justifiés
3 Comments:
Colonne de sel, lèvres assoiffées.
Et pourtant Coxyde fut un jour la plus riante de ces villes.
Merci pour ce voyage
Merci à vous deux pour la visite et les commentaires. La tonalité générale tient au fait que ces poèmes furent écrits après une descente de toute la côte par un hiver rigoureux...
La visite n'est pas tout à fait terminée. Il nous faut encore passer par St Idesbald (où vivait le merveilleux peintre Paul Delvaux) et arriver à La Panne, fin du voyage la semaine prochaine.
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