mercredi 10 août 2011

Vers encore obscurs (II)

II

Pour le (la) musée Grévin, elle sème à foison les puretés perdues à cocon. Nous sommes vingt minutes une petite musique devrait est-il des timbres. Y avait-il des instruments longs instants ? Y a chez lui que ça marche on a la vie de sa place de la caméra devient donc vie.
Attentif à la situation bien avant l’été l’autre il s’est dû un voyage à ouest, une immuable carguée du côté de la ville. Arrivants paysans vous verrez, ils s’entassent dans la bataille les collines avoisinantes après cela, sent comme de la France ! Le supporter du bateau, le pou !
Roger n’a rien ou ne (peut) pas le reconduire : pétanque, ni les manières sans doute, raquettes de tennis réelles. Les copains débarqueurs ont des preuves : les mains en 1993 de Jean, passeport, chaussure prononcée avec la mise à part, l’équipe de François Mite fournie par Laard Cabaldur, et en péril un camion avec le pdg et le cuisinier. Il reste à résoudre le quadra circulaire raisonnable de maillots bleus mais on doit (peut) ménager ce match à quatre, jus public. Cinquante ballons, mercredi 29 mai à l’urgence barrale de tout l’appareil électrique de parole, ils ont rendu en cas de pépin FO, CFTC et champagne en caisses de voler au seigneur le Bordel et d’avoir même si gracieusement ce qu’on leur aurait été dicté quelques caisses, les autres syndicats, un saint-émilion commun il faut nique. L’équipe décime d’un mal qui tendrement vingt (3) de notre outil de travail dont les (20) trois du service public protégé des influences. Les relations sociales n’auront pas d’accélère recours aux sociétés de défonce, la société des jours.
En ce vendre-dit de victoire, Grand finissant hombre projette ajoutée à la cargaison documentaire, une suite château-plaisance, séance in vivo dont il est le parrain alentour à chaque jour en terre. Stratégies et comment connaître la même, explique Michel que (et) Jean adhérent à l’image de son dernier film force pendant que déjà malade mais conquérir. Je plaisantais sur le développement de leurs grassouillets. Ils l’utilisent. Je mange trop ce n’est donc pas c’était la cirrhose, un vent militant laid travail sur le coup film. J’espère pas compte qu’il était derrière nous devant en train de tourner un révélateur (tuer).

Aux réponses il part en quête décidé de lever les courtes pour porter le lendemain l’enfant sage devant l’assemblée gênée. Minutes de présences. Le coup de foudre court de la direction et voici l’oiseau rare qui a pondu un texte savant. Les acteurs qui truquent faisaient front. Son œil j’ai vu cette affaire, il s’attaque aux choses de vierge, nous a dépossédés mais dans le travail a dévoyé l’étoffessionalisme envenimé, le jamais de vue, il faut remettre ça qui ont institué la nation. Il vibre face à privé au nom de tant de nature.
Prendre plaisir ni dans un dessin ne l’empêche pas ni dans un document au cours mais au Muséum dans une fête foraine naturelle, devant la jeune fille, une institution soyeuse qui tient 1965 pour cause de hanté. C’est comme un revenu des années 90, une œuvre pour la nation est lancée il a fallu remettre le mélo. Dans la salle le directeur de l’atelier alimentaire se poursuit du regard d’antiques visions. Cette fois les éditions convictions sont en pente de disresponsabilité, un peu comme cane, lama et la science tous seront à l’aéroport; même des ou presque. Pas l’auteur ancien ( L. S.) et son linge de toilette dans le (d)rôle du journaliste, dans les bras de tapis. On voit son mère dans le film, le (la) sent, assure Sam. Il a suivi la piste d’où partent les gens qui le perdent et c’est vraiment l’objet du son jeu. Les auteurs découpent toutes les variables. Les tapistes jamais enfermés ne sont pas des imdeux, ils ont le messie ils ont le souterrain mais leurs calculs mais leurs son fils un père émettent des erreurs que pudeur effraie Samson (le fils de Sam). J’ai descendu si bouleversé qu’aille avec lui. Depuis jouer, il est parti vous assurer que les rues de Lisbonne gouttent d’alcool.

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posted by Lucien Suel at 08:15

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Bonjour
Je ne sais pas si je fais bien de passer par là pour vous contacter. Je suis Thierry Aué, écrivain et ex-musicien, un ami (ex?) de C.Tarkos. Voilà. Je connaissais bien votre travail d''écriture à l'époque où Tarkos sévissait et le redécouvre sous la forme de Mauricette, avec une joie immense.
Avec toute ma sympathie

Thierry Aué

16:22  
Blogger Lucien Suel said...

Cher Thierry, merci de votre visite. Christophe m'avait parlé de vous et vos collaborations. Merci aussi d'apprécier La patience de mon héroïne.
Vous pouvez me joindre à l'adresse lucien.suel [à]gmail point com.

17:13  

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