Un poème de James Purdy
L'air ridé, coloré, l'air se rue au dehors,
la baleine, masse noire, au loin sur l'océan,
autres lieux, les Tropiques, où l'air est trop brûlant,
l'Arctique a des ours blancs, et du lard de baleine.
Alors peu importe qui, peu importe pourquoi
on peut couper la tarte, lancer la pomme en l'air,
jamais le silence ne sera plus profond
le plein ciel, tas d'étoiles, compte ! un milliard, deux fois.
Endors-toi dans les nues, endors-toi dans l'écume :
les flots verts se soulèvent, peu importe ton écume :
les flots verts se soulèvent, se soulèvent dans l'écume.
Traduit de l'anglais par Lucien Suel
la baleine, masse noire, au loin sur l'océan,
autres lieux, les Tropiques, où l'air est trop brûlant,
l'Arctique a des ours blancs, et du lard de baleine.
Alors peu importe qui, peu importe pourquoi
on peut couper la tarte, lancer la pomme en l'air,
jamais le silence ne sera plus profond
le plein ciel, tas d'étoiles, compte ! un milliard, deux fois.
Endors-toi dans les nues, endors-toi dans l'écume :
les flots verts se soulèvent, peu importe ton écume :
les flots verts se soulèvent, se soulèvent dans l'écume.
Traduit de l'anglais par Lucien Suel
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