jeudi 23 novembre 2023

Ateliers d'écriture, Bureau d'Asile Poétique 1/7

J'ai animé mon premier atelier d'écriture avec Réjane Peigny en 1999 à  Bruay-Labuissière. Cet atelier était organisé par l'association Epistème avec la DRAC Nord-Pas-de-Calais et Escales des Lettres.

Mon dernier atelier d'écriture s'est déroulé en février 2020 à l’IMEC (Institut Mémoires de l’édition contemporaine), Abbaye d’Ardenne, à l’invitation de Thierry Weyd, avec les étudiants de l’Esam Caen-Cherbourg, dans le cadre de l’animation du workshop "SPEED WRITING / FAST PUBLISHING".

J'ai décidé de mettre ma "méthodologie" à la disposition des "amateurs". Voici donc au Silo mes sept fiches créées en 2008 pour un atelier appelé (BAP) Bureau d'Asile Poétique, avec l'artiste Stéphane Benault  à Tourcoing, Collège Mendès-France.

Ces sept fiches sont emblématiques de mon travail personnel et des propositions d'écriture réalisées avec des publics divers, un peu partout en France, du collège à l'université, des enseignants aux prisonniers et sans-abris...

Fiche n° 1 Poème express
Fiche n° 2
Poème Bouture (avec des mots entiers)
Fiche n° 3 Poème Bouture (sans mots entiers)
Fiche n° 4
Acrostiche
Fiche n° 5 Acrostiche double
Fiche n° 6 Poèmes arithmogrammatiques
Fiche n° 7 Inclusion

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posted by Lucien Suel at 11:18

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

bah...

le menu est assez affriolant - ça se passe dans un chateau de Cornouailles, on ne saura jamais où - bizarrement, j'ai toujours aimé les histoires de fantômes - il y a un dîner puis un bal (la maison sera toujours ouverte pour Rebecca) - elle est là, partout (celle qui la remplace dans la vraie vie (IRL dirait la vulgate doxa contemporaine) se prénomme Edythe (Joan Fontaine, adorable) : elle ne peut pas la remplacer, non - une histoire d'amour - celui qui aime toujours cette Rebecca est interprété par Laurence Olivier (hanté) - (celle qui aime toujours Rebecca, sa gouvernante, Danny, est interprétée par Judith Anderson) - un rôle pour Georges Sanders, extra - le roman ("Rebecca", best seller) dont est issu le scénario est signé Daphné du Maurier (laquelle a ôté le "e" final de son prénom - on l'aime beaucoup) (producteur du film : David Selznick qui tritura le montage) (il y a un "O" dans l'énoncé du nom de ce producteur, lequel est explicité par Cary Grant (aka Roger "O" Thornhill) à Eva Marie Saint (Eve Kendall) dans le train qui va de New-York à Chicago (c'est une autre histoire du même réal (La mort aux trousses, North by northwest, 1959) dont la mémoire est assez troublée par les révélations faites par une de ses actrices fétiches (c'est le cas de le dire) Tippi Hedren (dans "Les Oiseaux" (Birds, 1963) - adapté lui aussi d'un roman (ou d'une nouvelle, je ne sais plus) de la Daphné en question) - c'est encore une autre histoire - mais qui font souvenir... (mille et un) Rebecca, Sir Alfred, 1940 (c'est son premier film étazunien, boum : un oscar (au producteur, certes : mais sans réalisateur, que serait-il ?)

08:19  
Blogger Lucien Suel said...

Bravo, cher PCH pour ta rapidité à traiter cinématographiquement cet ultime et inattendu poème express !

13:42  

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