TRANSPORT VISAGE DECOUVERT (épisode 12)
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ODEUR DE L’IMAGE IMAGE DU SON SON DE LA CARESSE.
Prairie moelleuse et jaune recouvrant les ossements bleus des animaux abattus.
Sans aucun doute, le nouveau millénaire va rayonner. T. Davila et W. Lee étalonnent leur sampler. Cosmik Galata annote le script final. Silence, on retourne au point alpha. Reste plus qu’à attendre la résurrection de Jim Jones. Maintes résolutions oubliées, maints errements maintenus, poings serrés, mains levées, bras tendus, doigts raidis. Le culte est rendu sur l’asphalte des trottoirs, des places et des parcs.
Lui dit rouge.
Lui entend jaune.
Lui sent bleu.
En fin de conte, ce sera à tous de ramer dans le sous-entendu. Et bien sûr, il faudra articuler le juste correct, le minimum de jeu, le consensus vampire, comme dans un paulard social avec des méchants pauvres et des bons riches. A quoi s’emploie le militant joueur. Un anti-formidable mythifiant, une vaseline de première de la classe, un conte pour miché. Dans la chose virus, orientale, Il (Cosmik G.) fut le socle, l’assise première, la clé de la voûte. Les fichiers furent d’abord compilés, ensuite diffusés et finalement écrasés. Il était aussi de plus en plus tentant de revenir en arrière avant l’invention de la dynamo.
Mer rouge s'ouvrant juste avant l'aube cadmium.
Les scribes réécrivaient les événements avant leur avènement, d'où enfin la vraie puissance publique naissait. L’opinion était celle des patrons de la presse. Sa Progéniture était la destruction des anciens substrats, l’apparition de mœurs de « progrès ». Le plan à l’œuvre avait été élaboré dans la Loge du concierge-maçon, un mix entre Lumières et Bauhaus.
à suivre...
L.S. 2005
Libellés : Cosmik Galata, Feuilleton, Lucien Suel, Poésie, TVD, william lee
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