(aïe) (on dirait un haïku) (pour être express, il l'est) (le poème, pas le film : c'est un vrai chef d'oeuvre) le type s'appelle Marcello, il est allongé, il loge (si je me souviens bien) dans un hôtel dans la gare d'Orsay (c'est un peu halluciné, mais c'est comme ça) c'est ce qu'on appelle un salaud, sa femme est là (Guilia, magnifique, un peu niaise) (Stefania Sandrelli : parfaite), il fume une cigarette allongé sur le lit (il est là pour tuer service commandé de l'ordure brune d'Italie fin des années trente) (c'est Jean -Louis Trintignant qui interprète le rôle) (image Vittorio Storaro magique; musique Georges Delerue : pareille) (la scène finale : terrible... brrr) (Le Conformiste, Bernardo Bertolucci, 1972) (dans le style halluciné, il y aurait aussi avec le même acteur - ils sont dans un tunnel pour échapper à on ne sait quoi et ça se termine très mal, Jean-Louis Trintignant dans le rôle du pharmacien Fulbert - qualité française (image Jean Penzer, musique Gabriel yared) pas si pourri (bien que Robert Merle - initialement le scénario "librement inspiré de" - se soit senti"trahi"...) ("Malevil" Christian de Challonges, 1981)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman "L'Evaporée" écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Elodie Karaki). Signature sur le stand de la librairie "Autour du Monde".
AMIENS, le Réseau des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires des Hauts-de-France qui organise depuis 2016 le Festival Résonances, rencontres du patrimoine littéraire et de la création, m'invite à participer à la conclusion de sa journée d'étude qui se tiendra le 4 mai 2023 à l'Université de Picardie Jules Verne, Pôle Citadelle. Je participerai à la table ronde "Visages d'écrivains" avec des lectures d'extraits de mes ouvrages tout en répondant aux questions d'Alexandra Oury.
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Poésie sonore au Nord" lecture-performance (20 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
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(aïe) (on dirait un haïku) (pour être express, il l'est) (le poème, pas le film : c'est un vrai chef d'oeuvre) le type s'appelle Marcello, il est allongé, il loge (si je me souviens bien) dans un hôtel dans la gare d'Orsay (c'est un peu halluciné, mais c'est comme ça) c'est ce qu'on appelle un salaud, sa femme est là (Guilia, magnifique, un peu niaise) (Stefania Sandrelli : parfaite), il fume une cigarette allongé sur le lit (il est là pour tuer service commandé de l'ordure brune d'Italie fin des années trente) (c'est Jean -Louis Trintignant qui interprète le rôle) (image Vittorio Storaro magique; musique Georges Delerue : pareille) (la scène finale : terrible... brrr) (Le Conformiste, Bernardo Bertolucci, 1972) (dans le style halluciné, il y aurait aussi avec le même acteur - ils sont dans un tunnel pour échapper à on ne sait quoi et ça se termine très mal, Jean-Louis Trintignant dans le rôle du pharmacien Fulbert - qualité française (image Jean Penzer, musique Gabriel yared) pas si pourri (bien que Robert Merle - initialement le scénario "librement inspiré de" - se soit senti"trahi"...) ("Malevil" Christian de Challonges, 1981)
le poème où il ne se passe presque rien est le court-métrage idéal.
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