(aïe) (on dirait un haïku) (pour être express, il l'est) (le poème, pas le film : c'est un vrai chef d'oeuvre) le type s'appelle Marcello, il est allongé, il loge (si je me souviens bien) dans un hôtel dans la gare d'Orsay (c'est un peu halluciné, mais c'est comme ça) c'est ce qu'on appelle un salaud, sa femme est là (Guilia, magnifique, un peu niaise) (Stefania Sandrelli : parfaite), il fume une cigarette allongé sur le lit (il est là pour tuer service commandé de l'ordure brune d'Italie fin des années trente) (c'est Jean -Louis Trintignant qui interprète le rôle) (image Vittorio Storaro magique; musique Georges Delerue : pareille) (la scène finale : terrible... brrr) (Le Conformiste, Bernardo Bertolucci, 1972) (dans le style halluciné, il y aurait aussi avec le même acteur - ils sont dans un tunnel pour échapper à on ne sait quoi et ça se termine très mal, Jean-Louis Trintignant dans le rôle du pharmacien Fulbert - qualité française (image Jean Penzer, musique Gabriel yared) pas si pourri (bien que Robert Merle - initialement le scénario "librement inspiré de" - se soit senti"trahi"...) ("Malevil" Christian de Challonges, 1981)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
2 Comments:
(aïe) (on dirait un haïku) (pour être express, il l'est) (le poème, pas le film : c'est un vrai chef d'oeuvre) le type s'appelle Marcello, il est allongé, il loge (si je me souviens bien) dans un hôtel dans la gare d'Orsay (c'est un peu halluciné, mais c'est comme ça) c'est ce qu'on appelle un salaud, sa femme est là (Guilia, magnifique, un peu niaise) (Stefania Sandrelli : parfaite), il fume une cigarette allongé sur le lit (il est là pour tuer service commandé de l'ordure brune d'Italie fin des années trente) (c'est Jean -Louis Trintignant qui interprète le rôle) (image Vittorio Storaro magique; musique Georges Delerue : pareille) (la scène finale : terrible... brrr) (Le Conformiste, Bernardo Bertolucci, 1972) (dans le style halluciné, il y aurait aussi avec le même acteur - ils sont dans un tunnel pour échapper à on ne sait quoi et ça se termine très mal, Jean-Louis Trintignant dans le rôle du pharmacien Fulbert - qualité française (image Jean Penzer, musique Gabriel yared) pas si pourri (bien que Robert Merle - initialement le scénario "librement inspiré de" - se soit senti"trahi"...) ("Malevil" Christian de Challonges, 1981)
le poème où il ne se passe presque rien est le court-métrage idéal.
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