vendredi 19 mai 2017

Poème express n° 683

posted by Lucien Suel at 07:31

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

(aïe) (on dirait un haïku) (pour être express, il l'est) (le poème, pas le film : c'est un vrai chef d'oeuvre) le type s'appelle Marcello, il est allongé, il loge (si je me souviens bien) dans un hôtel dans la gare d'Orsay (c'est un peu halluciné, mais c'est comme ça) c'est ce qu'on appelle un salaud, sa femme est là (Guilia, magnifique, un peu niaise) (Stefania Sandrelli : parfaite), il fume une cigarette allongé sur le lit (il est là pour tuer service commandé de l'ordure brune d'Italie fin des années trente) (c'est Jean -Louis Trintignant qui interprète le rôle) (image Vittorio Storaro magique; musique Georges Delerue : pareille) (la scène finale : terrible... brrr) (Le Conformiste, Bernardo Bertolucci, 1972) (dans le style halluciné, il y aurait aussi avec le même acteur - ils sont dans un tunnel pour échapper à on ne sait quoi et ça se termine très mal, Jean-Louis Trintignant dans le rôle du pharmacien Fulbert - qualité française (image Jean Penzer, musique Gabriel yared) pas si pourri (bien que Robert Merle - initialement le scénario "librement inspiré de" - se soit senti"trahi"...) ("Malevil" Christian de Challonges, 1981)

08:20  
Anonymous Dominique Hasselmann@orange.fr said...

le poème où il ne se passe presque rien est le court-métrage idéal.

11:37  

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