(huit heures et demi, faut pas non plus exagérer c'est quand même pas si tard - ça fait penser aux banquiers Keller de la Comédie Humaine, cinq et demi sur le pont tous les matins) Qui est derrière la porte ? Francesca ( Virna Lisi, mais comment fait Stanley Baker - alias Tyvian - pour lui préférer Eva ? moi, jte dirai que vraiment, je ne comprends pas ça) (en même temps, le rôle d'un lâche et d'un voleur, c'est pas non plus facile à tenir) Francesca donc est là, ça se passe à Rome (avant et après, à Venise) et comme on sait, cette "incommunicabilité" latente baigne toutes les relations dans ces années-là (et ce n'est pas Jeanne Moreau -ladite Eva dans le rôle-titre - qui dirait le contraire) (de là à en finir, non mais quand même Francesca, allons...) ("Eva" Joseph Losey, 1962)
Je m"incline. Ton commentaire est évident. J'ai le roman (James Hadley Chase) en poche, superbe photo de Jeanne Moreau en couverture. Peu de temps après, chez les yéyés, il y a eu Little Eva...
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
2 Comments:
(huit heures et demi, faut pas non plus exagérer c'est quand même pas si tard - ça fait penser aux banquiers Keller de la Comédie Humaine, cinq et demi sur le pont tous les matins) Qui est derrière la porte ? Francesca ( Virna Lisi, mais comment fait Stanley Baker - alias Tyvian - pour lui préférer Eva ? moi, jte dirai que vraiment, je ne comprends pas ça) (en même temps, le rôle d'un lâche et d'un voleur, c'est pas non plus facile à tenir) Francesca donc est là, ça se passe à Rome (avant et après, à Venise) et comme on sait, cette "incommunicabilité" latente baigne toutes les relations dans ces années-là (et ce n'est pas Jeanne Moreau -ladite Eva dans le rôle-titre - qui dirait le contraire) (de là à en finir, non mais quand même Francesca, allons...) ("Eva" Joseph Losey, 1962)
Je m"incline. Ton commentaire est évident. J'ai le roman (James Hadley Chase) en poche, superbe photo de Jeanne Moreau en couverture.
Peu de temps après, chez les yéyés, il y a eu Little Eva...
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