Les dérivées (133-134)
133
l'infiniment
petit aspire
l'infiniment
grand & nous
dit/un point
c'est tout/&
ce sera tout
ou rien/déjà
le serpent a
englouti les
annelures et
les écailles
134
de sa queue/
enlacées sur
la verge des
législateurs
les spirales
du naja sont
le tortillon
musclé d'une
éternelle et
irréfragable
digestion du
protoplasme/
Libellés : dérivées, Feuilleton, Lucien Suel, poésie à contraintes, Vers arithmogrammatiques
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