Les dérivées (116-118)
116
le hasard se
convulse sur
le sol glacé
d'un couloir
de clinique/
le hasard et
la cécité se
rencontrent/
fraternisent
dans le sang
coagulé d'un
chat écrasé/
117
par le poing
métallique &
brutal d'une
machine tous
terrains/les
os du busard
sont malaxés
par la vague
incessante &
les marées/I
can't get no
satisfaction
118
mais essayer
d'éliminer &
détruire les
facteurs/les
vecteurs/les
fauteurs qui
attisent les
étincelles &
flammèches &
brandons des
désordres et
dispersions/
Libellés : dérivées, Feuilleton, Lucien Suel, poésie à contraintes, Vers arithmogrammatiques
1 Comments:
Beau monolithe (ô graphie !)...
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