#JournalJardin - Tweets de janvier-février
Depuis le mois de mars 2012, je donne régulièrement des nouvelles du jardin en tweets de 140 signes.
Voici les archives horticotwittéraires pour janvier-février 2013, 2015 et 2016.
Voici les archives horticotwittéraires pour janvier-février 2013, 2015 et 2016.
2013
5 février 2013
#jardin première sortie premier effort première suée de l'année ;
joyeux malgré le son de la tronçonneuse plus Napalm Death que Soft
Machine
2015
vendredi 2 janvier
2015
#journaljardin
Première plantation de l’année : sept grosses gousses d’ail
éléphant (ou ail québécois) ; cadeau venu de Vendée par la
poste.
première semaine de
février 2015
#journaljardin À la
scie à bûche, élagage d’une partie des ormes qui donnaient trop
d’ombre sur le potager. Stock de bois pour l’hiver 2017.
mercredi 11 février
2015
#journaljardin Dans
l’après-midi, en V, venant du Sud, passage de trois vols d’oies
cendrées, une quarantaine d’oiseaux. L’hiver se termine.
lundi 23 février
2015
Journal, briquet,
carton d’emballage, fourche : profité du soleil et du fort
vent d’ouest pour brûler un tas de broussailles. #journaljardin
Avant étalage du
compost, repéré à travers le jardin une douzaine de pieds de
mâche, porte-graines pour la prochaine saison. #journal jardin
vendredi 27 février
2015
Toute la journée
dehors. Matin, compost sur le potager (23 brouettes). Après-midi,
plantation d’une haie vive de symphorines) #journaljardin
2016
17 février 2016
Brouette, fourche, pelle. Transport du tas de compost sur la terre
nue. Une vingtaine de petites pyramides noires. Land Art !
#journaljardin
26 février 2016
Ce matin, quatre buses planant, piaulant, haut dans le ciel et ce
soir, en direction du Nord, un premier vol d'oies sauvages.
#journaljardin
Libellés : journaljardin, Poésie, poésie à contraintes, Twitter, twittérature
4 Comments:
Donne envie de biner, sarcler... (beau parallèle entre "Napalm Death" & "Soft Machine" (vu à Besançon quand j'étais étudiant...).
Napalm Death ce serait les chardons et Soft Machine les violettes.
tu disposes donc de bois d'ormes pour les froids (mais je crois qu'ils s'en vont) (et c'est tant mieux)
Tu as raison, les ormes disparaissent peu à peu. Le plus souvent, je brûle des ormes morts. Mais l'essentiel de mon bois de chauffage, c'est du frêne.
Enregistrer un commentaire
<< Home