Il pleut ou il fait beau... (35)
« Tu trouves que c'est une mission à succès ! D'écouté
rien, pas d'enregistré et tu savoures à qui mieux mieux !
Déconnes à rouler des cônes, inondes Manacoa en racontars sur ondées,
que garages offrent au passant mutisme de leur rideau métallique muet,
programmes ta fin misérable en bagarres sordides sous des palmes exotiques
pour des feuillets envolés, feuilles de papier collées sur un mur
mais du mot disparu aucune trace alors que plumes d'autruches... »
ventilent l'aéré qui se la joue jolie peau, tissus restaurés,
et doublent l'efficacité anti-âge de tous ses soins du visage,
je sais ! mais n'avoir pas trace du disparu est rationnel,
de l'apparu aussi et non du paru et du paraître,
si je cherche mot disparu, j'ignore comment il est apparu ;
debout las entre rideaux tirés et fouillures en poche de soie,
imper sur le dos mouillé avant plis en fenêtre – ou après –
ciel noir, prêt à ressortir pour abriter sous porche en face
mon corps dégouttant et c'est alors que tu entres ;
mot en main apparaît et s'évapore en poche, un trou,
il y a un trou, pas avant ni après mais pendant,
pendant qu'il est présent car son contenu m'est inconnu,
lu ou pas, l'écrit je ne m'en souviens pas
et c'est ça qui me rend complètement floues les franges.
« Comme riches veuves aux allures de douairières en terrasses de Manacoa,
viens plutôt siroter cocktail, griller cigare en intérieur, écroulé en faste
et en vaste fauteuil, avant passer à table – tu sembles las. »
rien, pas d'enregistré et tu savoures à qui mieux mieux !
Déconnes à rouler des cônes, inondes Manacoa en racontars sur ondées,
que garages offrent au passant mutisme de leur rideau métallique muet,
programmes ta fin misérable en bagarres sordides sous des palmes exotiques
pour des feuillets envolés, feuilles de papier collées sur un mur
mais du mot disparu aucune trace alors que plumes d'autruches... »
ventilent l'aéré qui se la joue jolie peau, tissus restaurés,
et doublent l'efficacité anti-âge de tous ses soins du visage,
je sais ! mais n'avoir pas trace du disparu est rationnel,
de l'apparu aussi et non du paru et du paraître,
si je cherche mot disparu, j'ignore comment il est apparu ;
debout las entre rideaux tirés et fouillures en poche de soie,
imper sur le dos mouillé avant plis en fenêtre – ou après –
ciel noir, prêt à ressortir pour abriter sous porche en face
mon corps dégouttant et c'est alors que tu entres ;
mot en main apparaît et s'évapore en poche, un trou,
il y a un trou, pas avant ni après mais pendant,
pendant qu'il est présent car son contenu m'est inconnu,
lu ou pas, l'écrit je ne m'en souviens pas
et c'est ça qui me rend complètement floues les franges.
« Comme riches veuves aux allures de douairières en terrasses de Manacoa,
viens plutôt siroter cocktail, griller cigare en intérieur, écroulé en faste
et en vaste fauteuil, avant passer à table – tu sembles las. »
à suivre...
« Il pleut ou il fait beau tout le temps au début », un feuilleton de St. Batsal, (le pôle qu'elle nie)
ce texte n'est pas tiré d'un vrai fait divers, de même que toute ressemblance, y compris en URSS.
Libellés : Feuilleton, Il pleut ou il fait beau, Poésie, St. Batsal
0 Comments:
Enregistrer un commentaire
<< Home