Loto (Anne Ansquer)
Loto
La
télé se tient là,
elle
lui renvoie son Temps vert de gris son visage
enfui
dans l'inutile,
la
question enivrante, jadis dans le vase amoureux les tourments
et
filons de jade sa ville d'Ys...
Celui
qui a gagné huit millions se réveille en assassiné
doigts
gourds, cils collés de la veille et gris,
compte
tenu, un expéré
Les
types sont là, et l'automne, jambières, bottes, vestes et
sous-vestes, armes.
Il
commence.
Va
à la chasse.
Comme
hier.
Anne Ansquer
2010."loto".
"Repris" en oct.2012.
Anne
Ansquer.©
Libellés : Anne Ansquer, Poésie
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