lundi 9 mai 2022

Poème express n° 940

posted by Lucien Suel at 07:09

2 Comments:

Anonymous ste said...

Ève hauteur madame

13:18  
Anonymous Anonyme said...

(manquent juste Mick et Ronnie - et Brian) (Nicole ça me fait penser à Annie Girardot - ça fait un moment hein - je ne sais pas bien pourquoi jte dirai : dans Rocco et ses frères (Luchino Visconti, 1960) elle est une Nadia formidable) (manque Nadia aussi donc) mais non, ça se passe fin dix neuvième - ça ressemble aux ferrets de la Reine et aux Trois Mousquetaires exceptionnels (ils étaient 4 comme les Stones) - ici elles sont en forme de cœur : ce sont des boucles d'oreille en diamants offertes par son mari (Charles Boyer, cynique à souhait) qu'elle revend pour payer ses dettes... mais la vente est découverte, le mari les rachète et les offre à sa maîtresse Lola, (brune incandescente, interprétée par Lia Di Leo) laquelle revend (elle joue (trop) au casino) ces boucles, rachetées par un baron (ambassadeur à Byzance/Constantinople aujourd'hui Istanbul)(Vittorio De Sica, formidable) qui deviendra non seulement l'amant de Madame de mais surtout celui qu'elle aimera d'un vrai amour fort tendre et sublime... il les lui (re)offre (et l'imbroglio continuera jusqu'à la fin, tragique forcément tragique...) (elle lui dit quand il s'en va et que sur lui elle a refermé sa porte "je ne vous aime pas je ne vous aime pas je ne vous aime pas..." par trois fois - Formidable Madame de tellement transparente - formidable mise en scène aussi (Max Ophüls au sommet de son art) : Danielle Darrieux sublimissime - tragédie sans doute mais tellement touchante - adapté d'un roman de Louise de Vilmorin : Madame de...(Max Ophüls, 1953) (scénario Marcel Achard; image Christian Matras, musique Georges Van Parys : enfin la crème de ces années-là)

10:15  

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