(non mais le problème c'est que je n'ai pas aimé le film,c'est ça qui est un peu con) (c'est aussi -sans doute pas mal - parce que ça traite de questions disons contemporaines - y'a Scarlett Johansson à la voix (intelligente (?) et très artificielle) (on ne la voit jamais, évidemment puisqu'elle n'existe pas) et Joaquim Phoenix à l'image) (l'amour toujours l'amour...) (dans un poème - serait-il express - c'est évidement plus simple) (c'est aussi que je suis plutôt pudique sinon puritain - on s'en fout, je sais bien, mais c'est aussi une raison de ne pas trop goûter à ce genre de production) (c'est une production aussi, du cinéma : le réal a pris pour pseudonyme le nom d'un acteur de télévision qui le faisait marrer quand il était petit) (Spike Jonze)(son "vrai" nom : Adam Spiegel, il a marié un moment la fille à Coppola, Sofia, il a réalisé "Dans la peau de John Malkovitch" (1999) qui n'était pas mal) (un faiseur, disons) (je me demande s'il a à voir avec le Sam Spiegel des films de Kazan et de Lawrence d'Arabie (David Lean, 1963) - assez scabreux comme mec d'ailleurs) (comme si ici un réalisateur prenait comme pseudo Fernand Raynaud - nous faisait-il marrer ? bah...) et donc c'est l'histoire d'un type (certes, il est déprimé, mais quand même) qui tombe amoureux d'une voix industrielle laquelle le lui rend bien (une aubaine donc) : le poème express montre que le truc peut se gripper (comme on dit en temps de sars/cov/2) c'est un film dit d'anticipation : ça se passe dans un futur proche, ça veut dire de nos jours puisque le film date de 2013) (il y a aussi une espèce d'apparition de Rooney Mara, une star qui monte, qui monte) on n'a même pas traduit le titre original, c'est pour te dire l'ampleur...) Her (Spike Jonze, 2013) (image Hoyte van Hoytema, qui commence à se faire un nom dans la photo scifi - responsable de celle d'Ad Astra (James Gray, 2019) (formidable, oui) et de celle de Tenet (Christopher Dolan, 2020) (merdique) - comme quoi (massif blockbuster mais c'est aussi ça, le cinéma)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
3 Comments:
elle
se
vide
pas
(non mais le problème c'est que je n'ai pas aimé le film,c'est ça qui est un peu con) (c'est aussi -sans doute pas mal - parce que ça traite de questions disons contemporaines - y'a Scarlett Johansson à la voix (intelligente (?) et très artificielle) (on ne la voit jamais, évidemment puisqu'elle n'existe pas) et Joaquim Phoenix à l'image) (l'amour toujours l'amour...) (dans un poème - serait-il express - c'est évidement plus simple) (c'est aussi que je suis plutôt pudique sinon puritain - on s'en fout, je sais bien, mais c'est aussi une raison de ne pas trop goûter à ce genre de production) (c'est une production aussi, du cinéma : le réal a pris pour pseudonyme le nom d'un acteur de télévision qui le faisait marrer quand il était petit) (Spike Jonze)(son "vrai" nom : Adam Spiegel, il a marié un moment la fille à Coppola, Sofia, il a réalisé "Dans la peau de John Malkovitch" (1999) qui n'était pas mal) (un faiseur, disons) (je me demande s'il a à voir avec le Sam Spiegel des films de Kazan et de Lawrence d'Arabie (David Lean, 1963) - assez scabreux comme mec d'ailleurs) (comme si ici un réalisateur prenait comme pseudo Fernand Raynaud - nous faisait-il marrer ? bah...) et donc c'est l'histoire d'un type (certes, il est déprimé, mais quand même) qui tombe amoureux d'une voix industrielle laquelle le lui rend bien (une aubaine donc) : le poème express montre que le truc peut se gripper (comme on dit en temps de sars/cov/2) c'est un film dit d'anticipation : ça se passe dans un futur proche, ça veut dire de nos jours puisque le film date de 2013) (il y a aussi une espèce d'apparition de Rooney Mara, une star qui monte, qui monte) on n'a même pas traduit le titre original, c'est pour te dire l'ampleur...) Her (Spike Jonze, 2013) (image Hoyte van Hoytema, qui commence à se faire un nom dans la photo scifi - responsable de celle d'Ad Astra (James Gray, 2019) (formidable, oui) et de celle de Tenet (Christopher Dolan, 2020) (merdique) - comme quoi (massif blockbuster mais c'est aussi ça, le cinéma)
je ne suis pas un robot
je n'aime le cinéma
un peu Fernand Raynaud
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