Ah Snàporaz... ! (szmik/smzak/fioutch !!!) il pourrait faire suite à Huit et demi - Snàporaz se prénomme Marcello (ça ne peut pas être autrement), il suit la belle inconnue - voilà tout : il est le seul homme, et toutes ces femmes, là, qui sont à lui (en un sens, l'homme à son comble) (pour les cent dollars, je ne suis pas certain) outré saturé de fantasmes formidable de sincérité (comme le cinéma : c'est à dire tellement faux, illusoire, dénué de réalité qu'il en devient une vraie peinture (un film) de la vie réelle telle qu'on peut la fantasmer) Federico Fellini atteint les soixante ans (Anna Prucnal, dans le rôle de l'épouse de Snàporaz : splendide (on imaginerait presque Anouk Aimée ou Giulietta Masina - elles sont là, elles aussi) rêves d'homme, certainement, mais si peuplé de femmes - merveille de la "guerre des sexes" un homme vieillissant,peut-être, qui en a tant vu et tant rêvé... formidable, comme presque à chaque fois (près de deux heures et demie de rires, de larmes, de colère et de joie) La Cité des femmes (Federico Fellini, 1979)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
2 Comments:
il avait toujours adoré ce genre de femmes pendant cinq minutes
Ah Snàporaz... ! (szmik/smzak/fioutch !!!) il pourrait faire suite à Huit et demi - Snàporaz se prénomme Marcello (ça ne peut pas être autrement), il suit la belle inconnue - voilà tout : il est le seul homme, et toutes ces femmes, là, qui sont à lui (en un sens, l'homme à son comble) (pour les cent dollars, je ne suis pas certain) outré saturé de fantasmes formidable de sincérité (comme le cinéma : c'est à dire tellement faux, illusoire, dénué de réalité qu'il en devient une vraie peinture (un film) de la vie réelle telle qu'on peut la fantasmer) Federico Fellini atteint les soixante ans (Anna Prucnal, dans le rôle de l'épouse de Snàporaz : splendide (on imaginerait presque Anouk Aimée ou Giulietta Masina - elles sont là, elles aussi) rêves d'homme, certainement, mais si peuplé de femmes - merveille de la "guerre des sexes" un homme vieillissant,peut-être, qui en a tant vu et tant rêvé... formidable, comme presque à chaque fois (près de deux heures et demie de rires, de larmes, de colère et de joie) La Cité des femmes (Federico Fellini, 1979)
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