(incontestablement un film français - va savoir pourquoi) (les lourds rideaux tabac ne cadrent pas avec "Le Samouraï" (Jean-Pierre Melville, 1967) mais pour le reste c'est assez ça) ( notamment ces amours figurés en trumeau) mais non, je m'en remets à Pierre Granier-Deferre (j'ai déjà donné, je sais mais était-ce ce film-là ? peut-être...), ce canapé de velours ça m'en a tout l'air, Clémence et Julien Bouin à Courbevoie, la misogynie de Simenon (je me souviens du Grand Sebastian (incarné par Cornel Wilde) de "Sous le plus grand chapiteau du monde" (Cécile B. deMille, 1952)à qui il arrive le même drame qu'à Clémence ici (Simone Signoret, comme on peut l'aimer elle) : la funambule qui se brise) la "vulgarité" on la donne à l'auteur du livre, et on revoit, de loin, clopo pendu à la lèvre Julien (Jean Gabin) à qui on a ôté et l'amour et la joie de vivre ("Le chat", 1971) (joyeux réveillon à toi et à tes proches, Lucien)
Clermont-Ferrand, semaine de la poésie, en mars 2024
Dunkerque, performance au LAAC, le 5 mai 2024
Hazebrouck, pour les 30 ans du Marais du livre, le 5 septembre 2024
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février 2025, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril 2025 à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre 2025, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
TOULOUSE, le 13 janvier 2026, à La Cave Poésie René-Gouzenne, exposition, lecture-performance... plus d'informations bientôt
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2 Comments:
(incontestablement un film français - va savoir pourquoi) (les lourds rideaux tabac ne cadrent pas avec "Le Samouraï" (Jean-Pierre Melville, 1967) mais pour le reste c'est assez ça) ( notamment ces amours figurés en trumeau) mais non, je m'en remets à Pierre Granier-Deferre (j'ai déjà donné, je sais mais était-ce ce film-là ? peut-être...), ce canapé de velours ça m'en a tout l'air, Clémence et Julien Bouin à Courbevoie, la misogynie de Simenon (je me souviens du Grand Sebastian (incarné par Cornel Wilde) de "Sous le plus grand chapiteau du monde" (Cécile B. deMille, 1952)à qui il arrive le même drame qu'à Clémence ici (Simone Signoret, comme on peut l'aimer elle) : la funambule qui se brise) la "vulgarité" on la donne à l'auteur du livre, et on revoit, de loin, clopo pendu à la lèvre Julien (Jean Gabin) à qui on a ôté et l'amour et la joie de vivre ("Le chat", 1971) (joyeux réveillon à toi et à tes proches, Lucien)
Merci Piero. Oui j'ai déjà vu passer le chat. On le l'oublie pas. A toi aussi (et aux visiteurs de ces pages) bonne fin 2016 !
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