(incontestablement un film français - va savoir pourquoi) (les lourds rideaux tabac ne cadrent pas avec "Le Samouraï" (Jean-Pierre Melville, 1967) mais pour le reste c'est assez ça) ( notamment ces amours figurés en trumeau) mais non, je m'en remets à Pierre Granier-Deferre (j'ai déjà donné, je sais mais était-ce ce film-là ? peut-être...), ce canapé de velours ça m'en a tout l'air, Clémence et Julien Bouin à Courbevoie, la misogynie de Simenon (je me souviens du Grand Sebastian (incarné par Cornel Wilde) de "Sous le plus grand chapiteau du monde" (Cécile B. deMille, 1952)à qui il arrive le même drame qu'à Clémence ici (Simone Signoret, comme on peut l'aimer elle) : la funambule qui se brise) la "vulgarité" on la donne à l'auteur du livre, et on revoit, de loin, clopo pendu à la lèvre Julien (Jean Gabin) à qui on a ôté et l'amour et la joie de vivre ("Le chat", 1971) (joyeux réveillon à toi et à tes proches, Lucien)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
2 Comments:
(incontestablement un film français - va savoir pourquoi) (les lourds rideaux tabac ne cadrent pas avec "Le Samouraï" (Jean-Pierre Melville, 1967) mais pour le reste c'est assez ça) ( notamment ces amours figurés en trumeau) mais non, je m'en remets à Pierre Granier-Deferre (j'ai déjà donné, je sais mais était-ce ce film-là ? peut-être...), ce canapé de velours ça m'en a tout l'air, Clémence et Julien Bouin à Courbevoie, la misogynie de Simenon (je me souviens du Grand Sebastian (incarné par Cornel Wilde) de "Sous le plus grand chapiteau du monde" (Cécile B. deMille, 1952)à qui il arrive le même drame qu'à Clémence ici (Simone Signoret, comme on peut l'aimer elle) : la funambule qui se brise) la "vulgarité" on la donne à l'auteur du livre, et on revoit, de loin, clopo pendu à la lèvre Julien (Jean Gabin) à qui on a ôté et l'amour et la joie de vivre ("Le chat", 1971) (joyeux réveillon à toi et à tes proches, Lucien)
Merci Piero. Oui j'ai déjà vu passer le chat. On le l'oublie pas. A toi aussi (et aux visiteurs de ces pages) bonne fin 2016 !
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