samedi 28 novembre 2015

C’est le matin que l’on grandit (5)



Ce n'est pas parce qu'il est debout la nuit qu'il se sent moins petit. Alors, adossé, il s'accroupit, une chaleur canine sur les genoux, l'autre truffe dressée dans mon oreille. Ainsi, ils sont sur le même pied.
Cédric Bernard



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posted by Lucien Suel at 07:03