C’est le matin que l’on grandit (5)
Ce n'est pas parce qu'il est debout la nuit
qu'il se sent moins petit. Alors, adossé, il s'accroupit, une chaleur canine sur les genoux, l'autre
truffe dressée dans mon oreille. Ainsi, ils sont sur le même pied.
Cédric Bernard
Libellés : C'est le matin que l'on grandit, Cédric Bernard, Invité du Silo
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