vendredi 14 mai 2010

ON NE SE VOIT PLUS QU’AUX ENTERREMENTS, HEUREUSEMENT IL Y EN A SOUVENT

Il ajoutait « de veau de bœuf » à toutes ses phrases ce soir-là. [...] Lui disait « de veau de bœuf ». (p 113)
Jackie Berroyer, On ne se voit plus qu’aux enterrements, heureusement il y en a souvent, Le Cherche Midi, 2007.

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posted by Mauricette Beaussart at 11:41