TRANSPORT VISAGE DECOUVERT (épisode 6)
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IMAGE DE LA CARESSE CARESSE DE L’IMAGE IMAGE DU GOÛT.
Les puces prolifèrent colonisent le temps & l'espace. Pour encore oser, Cosmik Galata se laisse glisser à terre au risque d'empoussiérer son pantalon de tergal noir. Depuis le début de l’histoire, deux films se déroulent ensemble comme si l’ordinateur avait ouvert en même temps Real Player (le Joueur Pour De Vrai) et Quick Time (Le Temps Vite). Dans cette méditation les microprocesseurs sont perturbés par la folie de l’Histoire.
Sang bleu coulant dans le sable vermillon.
Nu dans l’inter-fréquence, toujours actif, ce mec a vécu ses 33 ans depuis longtemps jusqu'à ce bon vendredi d'avril à Lille. Pour se contenir, il lui faut se vider. C’est un imparable paradoxe. Thérése Davila, on la retrouve, elle caresse sa souris de plastique et cette caresse provoque de temps à autre l'éveil d'un virus endormi. Accrochée au sein des fichiers, une routine mutante met en péril la République. La première victime fut une jeune trieuse de 17 ans aux doigts ensanglantés par les arêtes coupantes des schistes sur le tapis roulant. A la demoiselle qui vacille ici, le pasteur William Lee offre le secours de la prière électronique.
Blue blood running in vermilion sand.
Libellés : Cosmik Galata, Feuilleton, Lucien Suel, Poésie, TVD, william lee
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