(on entendrait aisément la voix d'Anna Magnani dans l'adaptation de "la Voix Humaine" de Jean Cocteau (mise en scène par Roberto Rossellini, L'Amore première partie, 1948) mais le film a déjà été ici) (on pourrait aussi cesser de ne pas re-citer les films mais enfin, je préfère ne pas - comme disait l'autre)(Ah Bartleby..!) ce qui attrape le commentateur (comme je crois le poète (serait-il express) ce sont ici les adverbes (et donc par association d'idées, les dialogues d'un film - une femme avait l'obligation de son mari (je crois qu'il s'agissait d'un rôle interprété par Raimu) de ne répondre aux questions des étrangers (je crois me souvenir que c'était lors d'une croisière) entreprenants et opportuns par essence qu'avec des adverbes - elle croise un beau garçon,le dialogue s'engage -plusieurs fois elle répond "évidemment", puis "parfaitement", ou encore "galamment", puis "subrepticement" etc. le dialogue dure un peu, puis au bout de sept ou huit répliques de cet ordre, le dragueur pose la question qui tue : "mais pour qui cette (si jolie) bouche garde-t-elle ses baisers?" et la femme de répondre "pour mon amant" (ce qui est une forme d'adverbe,mais uniquement à lavoix) (humaine) - ce genre de dialogue pointe directement sur Sacha Guitry (je ne le déteste point, à vrai dire) et son magnifique "Faisons un rêve" (1936) puisqu'il admet Raimu au générique (Raimu est le mari, Guitry est l'amant) (de Jacqueline Delubac, l'épouse - l'une des épouses de ce Sacha-là urbi et orbi comme on dit - je crois qu'il en eût cinq ou six, un peu comme Zsa Zsa Gabor - il me semble qu'elle en eut, d'époux, sept) (je ne suis pas certain que le dialogue soit tiré de ce film mais il est tiré d'une de ses pièces de théâtre, comme il se doit) (sur une trentaine de films, une vingtaine le sont mais il aimait tant le cinéma pourtant et en fit un de ses arts favoris) "Faisons un rêve" (Sacha Guitry, 1936) (donc)
Clermont-Ferrand, semaine de la poésie, en mars 2024
Dunkerque, performance au LAAC, le 5 mai 2024
Hazebrouck, pour les 30 ans du Marais du livre, le 5 septembre 2024
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février 2025, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril 2025 à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
BULLY LES MINES, le 15 novembre 2025, je serai présent au Salon du Livre organisé par la Médiathèque
TOULOUSE, le 13 janvier 2026, à La Cave Poésie René-Gouzenne, exposition, lecture-performance... plus d'informations bientôt
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3 Comments:
manifestement cette voix ment
(on entendrait aisément la voix d'Anna Magnani dans l'adaptation de "la Voix Humaine" de Jean Cocteau (mise en scène par Roberto Rossellini, L'Amore première partie, 1948) mais le film a déjà été ici) (on pourrait aussi cesser de ne pas re-citer les films mais enfin, je préfère ne pas - comme disait l'autre)(Ah Bartleby..!) ce qui attrape le commentateur (comme je crois le poète (serait-il express) ce sont ici les adverbes (et donc par association d'idées, les dialogues d'un film - une femme avait l'obligation de son mari (je crois qu'il s'agissait d'un rôle interprété par Raimu) de ne répondre aux questions des étrangers (je crois me souvenir que c'était lors d'une croisière) entreprenants et opportuns par essence qu'avec des adverbes - elle croise un beau garçon,le dialogue s'engage -plusieurs fois elle répond "évidemment", puis "parfaitement", ou encore "galamment", puis "subrepticement" etc. le dialogue dure un peu, puis au bout de sept ou huit répliques de cet ordre, le dragueur pose la question qui tue : "mais pour qui cette (si jolie) bouche garde-t-elle ses baisers?" et la femme de répondre "pour mon amant" (ce qui est une forme d'adverbe,mais uniquement à lavoix) (humaine) - ce genre de dialogue pointe directement sur Sacha Guitry (je ne le déteste point, à vrai dire) et son magnifique "Faisons un rêve" (1936) puisqu'il admet Raimu au générique (Raimu est le mari, Guitry est l'amant) (de Jacqueline Delubac, l'épouse - l'une des épouses de ce Sacha-là urbi et orbi comme on dit - je crois qu'il en eût cinq ou six, un peu comme Zsa Zsa Gabor - il me semble qu'elle en eut, d'époux, sept) (je ne suis pas certain que le dialogue soit tiré de ce film mais il est tiré d'une de ses pièces de théâtre, comme il se doit) (sur une trentaine de films, une vingtaine le sont mais il aimait tant le cinéma pourtant et en fit un de ses arts favoris) "Faisons un rêve" (Sacha Guitry, 1936) (donc)
Bien évidemment, voilà un commentaire parfaitement argumenté !
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