(la robe de chambre m'a fait penser à mon film préféré - enfin l'un de mes - qui est "Le Guépard" (Luchino Visconti, 1963) mais le prince Fabrizio Corbera de Salina ne va s'abaisser à prendre une maîtresse - il va au "casino", certes, mais c'est sans doute par hygiène - et serrer sa femme contre lui, non - Maria Stella, magnifique) (c'est l'un des plus beaux rôles de Burt Lancaster non, c'est le plus beau - avec celui du suédois dans "Les tueurs" dont on a parlé - p/e 670 (l'éthique qui anime ces commentaires intime de cesser de prendre des références étazuniennes - j'ai un surmoi assez développé, je reconnais) mais je me souviens de "Reflets dans un oeil d'or" (John Huston, 1967) la robe de chambre, Marlon Brando aka le major Penderton, sa femme dans les premiers temps (Leonora ou Liz Taylor et ses yeux mauves...) et "la paix sauvegardée", c'est tout à fait cadré, magnifiquement (évidemment hors champ, quelques années avant), dans l'écrin de la version dorée - vue à la cinémathèque il y a peut-être 35 ans)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
2 Comments:
(la robe de chambre m'a fait penser à mon film préféré - enfin l'un de mes - qui est "Le Guépard" (Luchino Visconti, 1963) mais le prince Fabrizio Corbera de Salina ne va s'abaisser à prendre une maîtresse - il va au "casino", certes, mais c'est sans doute par hygiène - et serrer sa femme contre lui, non - Maria Stella, magnifique) (c'est l'un des plus beaux rôles de Burt Lancaster non, c'est le plus beau - avec celui du suédois dans "Les tueurs" dont on a parlé - p/e 670 (l'éthique qui anime ces commentaires intime de cesser de prendre des références étazuniennes - j'ai un surmoi assez développé, je reconnais) mais je me souviens de "Reflets dans un oeil d'or" (John Huston, 1967) la robe de chambre, Marlon Brando aka le major Penderton, sa femme dans les premiers temps (Leonora ou Liz Taylor et ses yeux mauves...) et "la paix sauvegardée", c'est tout à fait cadré, magnifiquement (évidemment hors champ, quelques années avant), dans l'écrin de la version dorée - vue à la cinémathèque il y a peut-être 35 ans)
Magnifique ! Ah, les reflets dans l’œil d'or du guépard !
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