Les dérivées (110-112)
110
les doigts & 
le nez ocrés 
d'écoulement 
pourritures/ 
limon confit 
vers de vase 
vase de vert 
les tiges de 
dahlia puent 
dans l'herbe 
prurigineuse 
du cimetière 
111
accent grave 
des pompiers 
funèbres/les 
prêtres vont 
sortir bille 
en tête/mais 
le mammifère 
ordinaire se 
fait tracter 
pieds devant 
bien heureux 
confortable/ 
112
être allongé 
sur la ronde 
bosse de son 
ventre enflé 
dans le doux 
capitonnage/ 
le cul collé 
au couvercle 
du cercueil/ 
prêt à péter 
au jour béni 
du jugement/ 
Libellés : dérivées, Feuilleton, Lucien Suel, poésie à contraintes, Vers arithmogrammatiques

 
    
  
  


 
    
    
   
   
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

0 Comments:
Enregistrer un commentaire
<< Home