Il pleut ou il fait beau... (25)
Inconnu est à replacer : il bascule vers moi frappé de stupeur,
frousse glacée en zone cocotière, sun radieux, maillots de bain mouillés
avec corps dedans au bas d'hôtel de luxe et raies
sombres à l'arrière et auréoles froncées autour de tétons siliconés
loin devant et plus hauts ; dans tel milieu je suis peu
prompt à la réaction. Brusque écart d'inconnu sur le côté
avec expédition en oblique de charge, rictus comme dans le bus
quand matin fragrance déjà trépassée proche vomi nous met au parfum,
beurk ! Hyper cut, uppercut à trajectoire amenée au devant d'occiput,
genoux en coton, bras inertes en doublure – qui ne supplée pas
mon impuissance ; trop soyeux en interne et trop de confort tue.
Mon corps s'affaisse comme une jeune hôtesse rencontrée sur moquette,
lors d'une mission du genre très spéciale loin des hibiscus,
retenue bras dessous pour amortir sa chute et dont anatomie coquine
était exagérée par courte tunique rouge vif à liseré d'or.
A ce souvenir, je crie salope ! face à l'inconnu interdit
mais c'est long baiser velours d'évanouissement qui me saisit.
Au réveil un autre mot occupe ma bouche, froissé comme imper,
en boule et éjecté par ma toux ; écrit à la main
il ordonne de me tenir à l'écart des personnages gras
qui se font aérer la peau en sueur à la plume.
Je me sens inondé côté flanc au sol de boue détrempée
et imprégné côté bruine qui me tombe en surface de corps.
J'échappe en vitesse aux risques d'éclaircies venant d'ouest.
frousse glacée en zone cocotière, sun radieux, maillots de bain mouillés
avec corps dedans au bas d'hôtel de luxe et raies
sombres à l'arrière et auréoles froncées autour de tétons siliconés
loin devant et plus hauts ; dans tel milieu je suis peu
prompt à la réaction. Brusque écart d'inconnu sur le côté
avec expédition en oblique de charge, rictus comme dans le bus
quand matin fragrance déjà trépassée proche vomi nous met au parfum,
beurk ! Hyper cut, uppercut à trajectoire amenée au devant d'occiput,
genoux en coton, bras inertes en doublure – qui ne supplée pas
mon impuissance ; trop soyeux en interne et trop de confort tue.
Mon corps s'affaisse comme une jeune hôtesse rencontrée sur moquette,
lors d'une mission du genre très spéciale loin des hibiscus,
retenue bras dessous pour amortir sa chute et dont anatomie coquine
était exagérée par courte tunique rouge vif à liseré d'or.
A ce souvenir, je crie salope ! face à l'inconnu interdit
mais c'est long baiser velours d'évanouissement qui me saisit.
Au réveil un autre mot occupe ma bouche, froissé comme imper,
en boule et éjecté par ma toux ; écrit à la main
il ordonne de me tenir à l'écart des personnages gras
qui se font aérer la peau en sueur à la plume.
Je me sens inondé côté flanc au sol de boue détrempée
et imprégné côté bruine qui me tombe en surface de corps.
J'échappe en vitesse aux risques d'éclaircies venant d'ouest.
à suivre...
« Il
pleut ou il fait beau tout le temps au début »,
un feuilleton de St. Batsal, (le pôle qu'elle nie)
ce
texte n'est pas tiré d'un vrai fait divers, de même que toute
ressemblance, y compris en URSS.
Libellés : Feuilleton, Il pleut ou il fait beau, Poésie, St. Batsal
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