(il y a des gens qui ne peuvent pas ne pas être dans ces commentaires : c'est comme ça, on en fait une histoire du cinéma, poétique oui, mais ambitieuse) (comme ça se termine, ici on ne tient pas compte du "battre la campagne" bien que cette incise s'adresse à nos cœurs quand certains films se déroulent sous nos yeux - et la chamade aussi bien)(enfin tout ça pour dire que aujourd'hui, il s'agit d'un film et d'un réalisateur qui nous importe assez) ça avait fait un peu polémique à sa sortie : il s'agit de l'affaire de l'affiche rouge, du groupe Manouchian, une reconstitution historique alors il se peut que Robert Guédiguian ait pris quelque liberté avec les pratiques idéologiques des acteurs des FTP MOI vis à vis du parti communiste d'alors (il se peut qu'on ait encore aimé Staline, comme un père, petit certes et des peuples sans doute, dans ces années-là) (ou pas - surtout) - il s'agit de la constitution d'un réseau de résistance par des Arméniens (la France aidée aimée soutenue sauvée par ses immigrés mêmes) - casting de dingue (Simon Abkarian en Missak, formidable, Virginie Ledoyen en Mélinée splendide) (la chanson de Léo...) (et tout à l'avenant, Jean-François Stevenin (toujours dans nos cœurs lui) mais ici c'est son fils Robinson qui joue Rayman qui va manquer de tuer un allemand (dans le poème,c'est lui), et aussi le jeune Grégoire Leprince-Ringuet déjà explosif) (et Ariane Ascaride (fatalement) et Jean-Pierre Daroussin (extra), reconstitution peut-être trop propre, mais n'importe encore une fois - une merveille - l'histoire à ne pas oublier, jamais - un classique probablement (même si...) L'armée du crime (Robert Guédiguian, 2009) (à la technique les mêmes toujours - musique additionnelle Alexandre Desplats : formidable tout autant)
DOUAI, le 17 janvier, rencontre avec une classe de 1ère du Lycée Châtelet autour de mon dernier roman "Rivière"
BRUXELLES, les 31 mars et 1er avril, présence à la Foire du Livre, lecture publique en compagnie de Jacques Darras le vendredi soir dans le cadre d'un entretien avec Alexandra Oury et pendant les deux jours, le vendredi et le samedi matin, signature de mon roman "Rivière" sur le stand des éditions Cours toujours. Organisation par l'AR2L.
MONTREUIL SUR MER, 6 avril, à 19 h, dans la salle de musique de l'Hôtel Loysel Le Gaucher, avec la Fabrique poétique, lecture-performance sur le thème des jardins
METZ, les 15 et 16 avril, invité par le festival POEMA dans le cadre du "Livre à Metz". Signature de "Rivière" et participation à une table ronde le dimanche à 15 h sur "Le Vertige de l’amour" en compagnie de Fanny Chiarello pour son roman L'Evaporée écrit en duo avec Wendy Delorme (animation par Jean-Antoine Loiseau)
CHÂTEAU-THIERRY, le 13 mai, présence aux Rencontres poétiques, signatures et dédicaces, présentation à la médiathèque : "Les Jardins de Lucien" lecture-conférence-performance (45 mn)
HAZEBROUCK, le 17 mai, à 18 h 30, Musée des Augustins, salle Jonas, lecture publique de "La Justification de l'abbé Lemire", dans le cadre du festival Résonances 2023
PARIS, le 22 juin, dans le cadre des Périphéries du marché de la poésie et à l'occasion de la re-parution de la revue DOC(k)S, soirée de performance à la Bibliothèque Marguerite Audoux, avec Ségolène Thuillart, Natacha Guiller, Ma Desheng et Lucien Suel
SETE, du 21 au 29 juillet, invité au Festival Voix Vives...
LIMOGES, le 23 septembre, parution du "Livre des poèmes express" aux éditions du Dernier Télégramme
ALENÇON, du 14 au 16 octobre, invité au festival Poésie & Davantage
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(il y a des gens qui ne peuvent pas ne pas être dans ces commentaires : c'est comme ça, on en fait une histoire du cinéma, poétique oui, mais ambitieuse) (comme ça se termine, ici on ne tient pas compte du "battre la campagne" bien que cette incise s'adresse à nos cœurs quand certains films se déroulent sous nos yeux - et la chamade aussi bien)(enfin tout ça pour dire que aujourd'hui, il s'agit d'un film et d'un réalisateur qui nous importe assez) ça avait fait un peu polémique à sa sortie : il s'agit de l'affaire de l'affiche rouge, du groupe Manouchian, une reconstitution historique alors il se peut que Robert Guédiguian ait pris quelque liberté avec les pratiques idéologiques des acteurs des FTP MOI vis à vis du parti communiste d'alors (il se peut qu'on ait encore aimé Staline, comme un père, petit certes et des peuples sans doute, dans ces années-là) (ou pas - surtout) - il s'agit de la constitution d'un réseau de résistance par des Arméniens (la France aidée aimée soutenue sauvée par ses immigrés mêmes) - casting de dingue (Simon Abkarian en Missak, formidable, Virginie Ledoyen en Mélinée splendide) (la chanson de Léo...) (et tout à l'avenant, Jean-François Stevenin (toujours dans nos cœurs lui) mais ici c'est son fils Robinson qui joue Rayman qui va manquer de tuer un allemand (dans le poème,c'est lui), et aussi le jeune Grégoire Leprince-Ringuet déjà explosif) (et Ariane Ascaride (fatalement) et Jean-Pierre Daroussin (extra), reconstitution peut-être trop propre, mais n'importe encore une fois - une merveille - l'histoire à ne pas oublier, jamais - un classique probablement (même si...) L'armée du crime (Robert Guédiguian, 2009) (à la technique les mêmes toujours - musique additionnelle Alexandre Desplats : formidable tout autant)
l'instant était parfait
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