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lundi 31 octobre 2022

Poème express n° 982


 

2 commentaires:

  1. une part généreuse de gâteau qui l'a fait fuir

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  2. Anonyme09:34

    c'est une action dramatique, vraiment dramatique - on rit parfois, mais c'est vraiment une terreur - la fin du film, vraiment déchirant (un peu comme dans ces narrations où c'est complètement inexorable (Fuller et "Shock Corridor" (1963), Mankiewicz dans "Soudain l'été dernier" (1959), le "Rain Man" de Barry Levinson (1988) (Dustin Hoffmann, tellement génial comme dans le "Macadam"Cowboy" de Schlesinger (1969)) enfin ce genre de sujet, un peu désespérant mais si beau (le "Family Life" de Ken Loach (1971) qui passe aussi) - ici, un garçon Steve sympathique pourtant (interprété par un Antoine Olivier Pilon survolté) mais tellement vulnérable - sa mère magnifique surnommée Die (Anne Dorval formidable) - la voisine touchante désirable (Suzanne Clément formidable, tout pareil) - les acteurs sont dirigés d'une façon exceptionnelle - une mise en scène dramatique, hystérique peut-être, mais qui exprime tellement bien les états d'âme, disons pour faire court - une merveille (pour le gâteau, c'est possible que non, on ne le voie pas) mais tout est là - et à la fin, Steve s'en va (par la fenêtre) : magnifique... Mommy (Xavier Dolan, 2014) (le réalisateur en est à son cinquième long métrage à 25 ans on s'en fout un peu, l'important c'est le film, mais quand même - bien entouré quand même : à l'image André Turpin)(la musique formidable contemporaine tout autant, Lana del Rey ou Oasis)(à Cannes 2014,prix du jury quand même aussi - Jane Campion, présidente...)

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