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jeudi 6 octobre 2022

Poème express n° 975


 

2 commentaires:

  1. sa furie à la poitrine insoupçonnée

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  2. Anonyme08:03

    écoute il paraît que c'est un classique - encensé par la critique (il y a une chanson d'Aznavour sur sa fin qui la raconte, cette critique - enfin celle du music-hall - qui fait "c'est le public qui a raison" - le film est d'ailleurs un succès public ET critique : il donne son premier (grand) rôle à Michel Constantin qui ne se destinait guère au métier de comédien...) (quand je l'ai vu, ce film - lors de mes études de ciné - je n'y ai pas trouvé ce qu'on m'en avait promis mais peu importe sans doute) (ils ne disposent cependant pas d'armes - ils creusent) ils sont quatre dans une cellule et ils veulent s'évader de prison - la terre, le béton, les coups qui entament les mains - arrive un autre type qui les trahira - ils percent quand même un trou pour s'échapper par les égouts (enfin, j'aime bien le réalisateur - il nous a quand même donné "Casque d'Or" (1952) et "Touchez pas au grisbi" (1954)) - c'est un huis clos,c'est sans doute pour ça, ça creuse, ça creuse... Le trou (Jacques Becker, 1960) (le réalisateur meurt à la fin du montage, son fils, Jean, y est assistant à la réalisation) (à l'image Ghislain Cloquet quand même)

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