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jeudi 4 août 2022

Poème express n° 962

 


2 commentaires:

  1. une lumière de force et de fatigue

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  2. Anonyme11:13

    (c'est une terreur, d'ailleurs je n'ai pas supporté le film et je suis parti avant la fin) (du cinéma, gros, lourd, qui tache et qui se fait quand même (entrées : cinquante mille...) : (ce n'est pas 'histoire d'un père qui séquestre et tue ses enfants ("les séquestrés de Cleveland" : "Cleveland Abduction", (2016 Alex Kalymnios)), ça a été trop pour moi) (évidemment d'extrême droite : cette mode de nos jours, cette horreur détestable (89 sièges au parlement quand même) (le dégoût) (quelque chose de la modernité : on en a tiré des films (des séries aussi semble-t-il tellement le truc fascine : en parler fait partie de cette fascination je suppose) (mais n'en rien dire serait le cacher le taire le mettre au secret) (des faits dits divers - enlèvements séquestrations viols meurtres tout : le kit) (à pleurer sur la "nature" humaine - le genre - les turpitudes) mettons qu'il s'agisse d'un film français, réalisé par un Gilles Bannier, dans le rôle principal Reda Kateb (inculpé à tort) (lequel acteur sera aussi du "À moi seul" (Frédéric Videau, 2012) inspiré de l'enlèvement séquestration de Natacha Kampush, en 2006)), dans celui de la mère de l'enlevée Léa Drucker - inspiré de l'enlèvement (tiré d'une histoire vraie) d'Elisabeth Smart, 14 ans, juin 2002) (une horreur) (j'en parle tant pis pour moi) d'autres (commeon dit) "affaires" (Guardo, Fritzl etc. : l'horreur) : toute une panoplie fictionnelle tirée d'histoires vraies qui ne grandissent certes pas l'humanité (quoi qu'on en fasse) ici donc "Arrêtez-moi là" (Gilles Bannier, 2016)

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