(ce n'est pas vraiment de tellement bonne recette - encore que plus de trois millions d'entrées, ça vous pose quand même la production) (on fait toujours un peu la fine bouche avec ce genre de film - du gros lourd qui tache un peu - ici c'est assez drôle pourtant - le rire n'est pas si gras disons - un peu comme cette soupe - de la comédie franchouillarde) (mais de science fiction - à peine, certes) (dimanches soirs après dimanches soirs sur la une) (plus ou moins) le réalisateur (Jean Girault) est aussi plus ou moins attitré des films de Louis de Funès (la série des gendarmes, qui fait passer la profession ou la corporation pour de doux dingues - bien qu'anachronique, je reconnais, moi ça me fait penser à Rémy Fraisse (que son âme reste en paix) - je m'égare, pardon) (la série des Charlots aussi, un petit peu) un binôme augmenté d'un musicien (Raymond Lefevre) (celui qui faisait le chef d'orchestre des émissions genre Maritie et Gilbert Carpentier ou autres) qui font (outre la leur) la fortune des exploitants de cinéma (la critique est moins unanime) mais c'est vrai qu'il fait bon, qu'il est agréable de rentrer dans une maison où on est attendu (plus ou moins, comme ici...) pour le dîner- Jacques Villeret, qui joue l'extra-terrestre aux bruits d'épaule est marrant - Louis de Funès en fait des tonnes (là, il est presque en deçà de ses performances (en surcharge très pondérale) habituelles) (on l'aime beaucoup, dans le public des films de cinémas qui passent à la télé - aux Cahiers du cinéma (d'alors) ou à Positif, c'est moins sûr) (cependant la Cinémathèque Française elle-même (dirigée par un ex-journaliste animateur certes) a organisé une exposition sur Louis (il prend pour scénariste le fils d'André Hunnebelle - qui lui aussi,dimanches soirs dimanches soirs...) (enfin une autre époque,peut-être...) La soupe aux choux (Jean Girault, 1981)
(ce n'est pas vraiment de tellement bonne recette - encore que plus de trois millions d'entrées, ça vous pose quand même la production) (on fait toujours un peu la fine bouche avec ce genre de film - du gros lourd qui tache un peu - ici c'est assez drôle pourtant - le rire n'est pas si gras disons - un peu comme cette soupe - de la comédie franchouillarde) (mais de science fiction - à peine, certes) (dimanches soirs après dimanches soirs sur la une) (plus ou moins) le réalisateur (Jean Girault) est aussi plus ou moins attitré des films de Louis de Funès (la série des gendarmes, qui fait passer la profession ou la corporation pour de doux dingues - bien qu'anachronique, je reconnais, moi ça me fait penser à Rémy Fraisse (que son âme reste en paix) - je m'égare, pardon) (la série des Charlots aussi, un petit peu) un binôme augmenté d'un musicien (Raymond Lefevre) (celui qui faisait le chef d'orchestre des émissions genre Maritie et Gilbert Carpentier ou autres) qui font (outre la leur) la fortune des exploitants de cinéma (la critique est moins unanime) mais c'est vrai qu'il fait bon, qu'il est agréable de rentrer dans une maison où on est attendu (plus ou moins, comme ici...) pour le dîner- Jacques Villeret, qui joue l'extra-terrestre aux bruits d'épaule est marrant - Louis de Funès en fait des tonnes (là, il est presque en deçà de ses performances (en surcharge très pondérale) habituelles) (on l'aime beaucoup, dans le public des films de cinémas qui passent à la télé - aux Cahiers du cinéma (d'alors) ou à Positif, c'est moins sûr) (cependant la Cinémathèque Française elle-même (dirigée par un ex-journaliste animateur certes) a organisé une exposition sur Louis (il prend pour scénariste le fils d'André Hunnebelle - qui lui aussi,dimanches soirs dimanches soirs...) (enfin une autre époque,peut-être...) La soupe aux choux (Jean Girault, 1981)
RépondreSupprimeragréable fusion d'essentiel
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