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lundi 28 juin 2021

Poème express n° 865


 

2 commentaires:

  1. il avait toujours adoré ce genre de femmes pendant cinq minutes

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  2. Anonyme07:52

    Ah Snàporaz... ! (szmik/smzak/fioutch !!!) il pourrait faire suite à Huit et demi - Snàporaz se prénomme Marcello (ça ne peut pas être autrement), il suit la belle inconnue - voilà tout : il est le seul homme, et toutes ces femmes, là, qui sont à lui (en un sens, l'homme à son comble) (pour les cent dollars, je ne suis pas certain) outré saturé de fantasmes formidable de sincérité (comme le cinéma : c'est à dire tellement faux, illusoire, dénué de réalité qu'il en devient une vraie peinture (un film) de la vie réelle telle qu'on peut la fantasmer) Federico Fellini atteint les soixante ans (Anna Prucnal, dans le rôle de l'épouse de Snàporaz : splendide (on imaginerait presque Anouk Aimée ou Giulietta Masina - elles sont là, elles aussi) rêves d'homme, certainement, mais si peuplé de femmes - merveille de la "guerre des sexes" un homme vieillissant,peut-être, qui en a tant vu et tant rêvé... formidable, comme presque à chaque fois (près de deux heures et demie de rires, de larmes, de colère et de joie) La Cité des femmes (Federico Fellini, 1979)

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