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jeudi 22 septembre 2022

Poème express n° 971

 


2 commentaires:

  1. Anonyme13:14

    (quel poème magnifique !) (il me semble reconnaître le père de l'héroïne - elle va le voir vers la fin du film - ce n'est pas certain qu'il soit cynique mais c'est avéré qu'il est nazi... - je me souviens de son sourire, alors qu'elle s'en va - beaucoup aimé cette séquence) (Sir Alfred - qui n'a pas encore cette dignité, certes - est depuis peu aux US - le film date à peine de 1940)- je ne me souviens plus bien (dans les limbes, restent les regards qu'ils se lancent, elle, sa fille (Laraine Day) , et lui, son père (Herbert Marshall) - mais est-ce suffisant ?) (il y a ça : le regard au dessus des flammes (celles de la guerre, et de l'extermination) il y a ça - ce n'est que le souvenir (mais c'est aussi qu'on s'approche de la fin) (je ne crois pas qu'il soit, ce père, aussi impliqué - mais le film est vraiment bien - le suspens à son plus haut, comme Alfred Hitchcock saura le garder, tout au long de ses réalisations (c'est (aussi) pour ça qu'on l'aime: il respecte le pacte qu'il a avec le public)- Correspondant 17 (Sir Alfred, 1940) (musique Alfred Newman, excuse du peu (magique) - à l'image Rudolph Mathé (opérateur sur Vampyr (Carl T. Dreyer,1932) puis sur Elle et lui (Leo Mac Carey, 1939) - Georges Sanders, magnifique - enfin tout ça)

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  2. quel type dieu, si sûr de lui, si imperturbable!

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