(alors de deux - trois - choses l'une : a) au P/E* 809 adverbiablement et diablement l'emploi de ce type de vocable invariable comme on sait (dans un film dont je ne me souviens plus mais probablement de Sacha Guitry); b) au P/E* 904 le magnifique Mia Madre (Nanni Moretti, 2015) déjà pris cependant) donc c) ce "maman"-là est issu du point b) car enfin il s'agit d'une même actrice (elle joue dans le "Mia Madre" la fille (et la sœur); elle joue ici le rôle de la mère - son fils s'en va, son mari est un juge rigide et froid va jusqu'à l'abjection pour un père de lui demander de choisir entre lui-même et ce fils - insoluble - merveilleuse actrice, scénario d'acier qui impose la vision d'un immeuble aux trois étages duquel vivent ces gens - mais oui, ici tellement tellement maman - il y a là aussi Alba Rohrwacher qui elle aussi joue le rôle d'une mère et dont la propre mère semble assez proche du gouffre - elle aussi - si vous ne l'avez vu, allez-y, c'est un film magnifique (ainsi qu'à peu près tous les films cités ici - ainsi que tous les poèmes qu'on a l'honneur de commenter) (encore merci) : Tre Piani (Nanni Moretti, 2021) dans le rôle de la mère sublimement dirigée Marguerita Buy
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
3 Comments:
maman ment
(alors de deux - trois - choses l'une :
a) au P/E* 809 adverbiablement et diablement l'emploi de ce type de vocable invariable comme on sait (dans un film dont je ne me souviens plus mais probablement de Sacha Guitry);
b) au P/E* 904 le magnifique Mia Madre (Nanni Moretti, 2015) déjà pris cependant) donc
c) ce "maman"-là est issu du point b) car enfin il s'agit d'une même actrice (elle joue dans le "Mia Madre" la fille (et la sœur); elle joue ici le rôle de la mère - son fils s'en va, son mari est un juge rigide et froid va jusqu'à l'abjection pour un père de lui demander de choisir entre lui-même et ce fils - insoluble - merveilleuse actrice, scénario d'acier qui impose la vision d'un immeuble aux trois étages duquel vivent ces gens - mais oui, ici tellement tellement maman - il y a là aussi Alba Rohrwacher qui elle aussi joue le rôle d'une mère et dont la propre mère semble assez proche du gouffre - elle aussi - si vous ne l'avez vu, allez-y, c'est un film magnifique (ainsi qu'à peu près tous les films cités ici - ainsi que tous les poèmes qu'on a l'honneur de commenter) (encore merci) : Tre Piani (Nanni Moretti, 2021) dans le rôle de la mère sublimement dirigée Marguerita Buy
Merci pour ce retour du commentaire, cher ami anonyme érudit (et enthousiaste.)
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